C’est l’occasion que vous attendiez! L’AREQ (CSQ) est à la recherche d’une personne souhaitant s’engager au sein de son comité de l’environnement. Ce groupe, composé de cinq membres de l’association, d’une personne conseillère et d’une personne responsable politique attitrée au dossier, se fait le porteur des dossiers liés à l’environnement et aux changements climatiques.
Si vous faites partie des régions du Saguenay-Lac-Saint-Jean, de la Mauricie–Centre-du-Québec, de l’Estrie, de l’Île de Montréal, de l’Abitibi-Témiscamingue ou de Laval–Laurentides–Lanaudière, vous pouvez nous faire parvenir votre candidature! Vous n’avez qu’à envoyer le formulaire dûment rempli à info@areq.lacsq.org, avant le 22 novembre prochain.
Je remercie l’équipe de l’AREQ (CSQ) de me donner l’opportunité de m’adresser à vous en tant que nouveau parrain de votre association.
Je suis enseignant en mathématiques au secondaire et j’ai été président du Syndicat de l’enseignement de la Côte-du-Sud (SECS-CSQ) pendant plus de 20 ans, jusqu’à mon élection à la troisième vice-présidence de la CSQ en juin dernier.
J’ai la profonde conviction qu’une CSQ unie et forte de ses fédérations, de son regroupement, de son association, de ses affiliés et de ses membres est une CSQ capable d’influencer nos choix collectifs, tant au bénéfice de nos membres qu’à celui de l’ensemble de la société. C’est ça, l’intérêt commun!
C’est avec beaucoup d’intérêt que j’assumerai la responsabilité politique de l’AREQ au sein du conseil exécutif de la Centrale. La diminution du pouvoir d’achat à la retraite et les conditions de vie des personnes aînées sont des réalités auxquelles je suis sensibilisé depuis plusieurs années déjà. Ce sont des sujets sur lesquels l’AREQ effectue un travail remarquable et pour lesquels les travailleuses et travailleurs doivent être sensibilisés. J’apporterai donc tout mon soutien à l’Association tout en demeurant à l’affût des enjeux qui vous touchent et vous préoccupent.
Le contexte démographique constitue une préoccupation constante quant au membership de l’AREQ. Beaucoup de travail est à venir en lien avec le déploiement d’un plan de développement et de positionnement dans les prochains mois. Il s’agit là d’un projet stimulant qui aura des retombées positives importantes pour l’AREQ, mais aussi pour l’ensemble de la Centrale.
L’AREQ arrive à un moment charnière de son histoire. Votre descriptif « Mouvement des personnes retraitées CSQ » est une dénomination qui reflète bien le dynamisme et la vivacité de l’AREQ et des gens qui s’y impliquent. D’ailleurs, ce qui se passe dans les rangs de l’AREQ (CSQ) nous concerne toutes et tous. Après tout, nous prendrons aussi notre retraite un jour!
L’AREQ est une force, un avantage. Ensemble, notre poids politique est plus grand, nos interventions portent plus largement et notre leadership s’agrandit. L’AREQ est la preuve que l’action politique au bénéfice de la société québécoise se poursuit après la retraite. Merci pour tout ce que vous faites. J’ai très hâte de travailler avec vous!
La Fédération des syndicats de l’enseignement (FSE-CSQ) organise, pour la 22e année, le concours d’écriture Ma plus belle histoire.
Ce concours est ouvert aux adultes en formation partout sur le territoire. Ils peuvent soumettre leurs textes pour courir la chance de les voir être publiés dans un recueil qui sera dévoilé au printemps 2025.
Comme le nombre de textes reçus est important, la FSE-CSQ est à la recherche de nouveaux lecteurs et lectrices intéressés à joindre son équipe d’évaluation. La mission (si vous l’acceptez)serait de lire et d’évaluer de 15 à 20 textes de 500 à 1000 mots durant les mois de décembre et janvier. Les gens qui seront sélectionnés auront plus de détails et accès à une vidéo explicative pour les accompagner.
Les textes reflètent parfois le parcours difficile des élèves, mais sont également souvent porteurs d’espoir. Cela dit, tous les styles littéraires sont acceptés, allant du poème à la fiction.
Le processus d’évaluation est entièrement numérique et automatisé. Les personnes qui accepteront de se joindre à l’équipe recevront donc les textes à évaluer par courriel, avec les instructions nécessaires. Les notes seront compilées grâce à un court formulaire Web.
Notez qu’il s’agit d’une contribution volontaire et bénévole. Les personnes intéressées à participer sont priées d’en informer Enrika Dupré par courriel à l’adresse mpbh@fse.lacsq.org, au plus tard le vendredi 22 novembre.
Nous vous remercions de votre précieuse contribution à ce grand projet!
Le comité de l’environnement de l’AREQ vos propose cette histoire ludique pour comprendre le déroulement d’une consultation publique et la façon dont les gens peuvent participer.
Dans cette bande dessinée originale où s’entremêlent fiction et réalité, accompagnez Charlotte, Maxime et leurs amis et découvrez de manière ludique le déroulement d’une consultation publique et la façon dont les gens peuvent participer, s’informer et s’exprimer sur les projets qui les concernent.
À Trois-Sommets-les-Pins, l’implantation d’une entreprise d’élevage de scarabées suscite beaucoup de réactions dans la communauté. Une consultation publique du BAPE est annoncée. Le Projet Scarabec mobilise la population. Au fil de la série, Charlotte, Maxime et leurs amis pourront en apprendre davantage sur le projet, poser des questions et faire valoir leurs points de vue en participant aux travaux du BAPE.
Situé au cœur de l’arrondissement de Sainte-Foy dans la Capitale-Nationale, le Manoir Laure-Gaudreault offre des appartements abordables à des personnes autonomes de 55 ans et plus, ayant des revenus modestes. Comme Laure Gaudreault est la fondatrice de l’AREQ et que ce manoir porte son nom, nos affinités ont toujours été naturelles. C’est pourquoi il nous fait plaisir d’informer nos membres que leur campagne de financement est actuellement en cours.
Leur projet consiste à rénover le salon, le cœur du Manoir, pour en faire un espace adapté à la réalité des personnes aînées, attrayant et un lieu où les liens sociaux se renforcent chaque jour. Un environnement lumineux, chaleureux, propice aux échanges et à la création de souvenirs mémorables. Cet espace sera utilisé pour souligner les anniversaires, les moments précieux de belles amitiés, la musique et les jeux de société.
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Ce courriel vous est envoyé par l’AREQ (CSQ) au nom de La Personnelle, située au :
6300, boulevard Guillaume-Couture
Lévis (Québec) G6V 9C4
*La Personnelle désigne La Personnelle assurances générales inc. La marque La PersonnelleMD ainsi que les marques de commerce associées sont des marques de commerce de La Personnelle, compagnie d’assurances, employées sous licence. Certaines restrictions, exclusions et limites peuvent s’appliquer. L’assurance auto n’est pas offerte au Manitoba, en Saskatchewan ni en Colombie-Britannique, où il existe des régimes d’assurance gouvernementaux.
1 Certaines restrictions, exclusions et limites peuvent s’appliquer. Les économies sont basées sur le profil individuel de chaque client. Des conditions d’admissibilité s’appliquent aux économies et aux rabais. Les tarifs et les rabais sont sujets à changement sans préavis. Les propriétaires de maisons peuvent économiser jusqu’à 10 %, les propriétaires d’habitations en copropriété jusqu’à 15 %, et les locataires jusqu’à 15 %.
2 Statistiques internes de La Personnelle : Nombre approximatif de titulaires de police qui ont renouvelé leur police lorsque celle-ci est arrivée à échéance, du 1er janvier 2023 au 30 septembre 2023. Le taux ne comprend pas les annulations et les résiliations à mi-parcours.
Parmi les membres de l’AREQ, plusieurs ont la générosité de s’investir bénévolement dans une cause. D’ailleurs, saviez-vous que les personnes retraitées et aînées représentent une part importante des bénévoles au Québec? Nous consacrons annuellement plus d’heures au bénévolat que n’importe quel autre groupe d’âge. On parle de l’équivalent de 131 400 emplois à temps plein. Ce faisant, nous apportons à la société une vaste expérience et des compétences variées, ce qui contribue à enrichir la communauté, à favoriser une meilleure cohésion sociale et à renforcer les liens intergénérationnels.
Entre le 29 et le 31 octobre avait lieu à Québec le premier conseil national de l’AREQ pour l’année 2024-2025. Cette instance est l’occasion de rassembler les présidents des régions et des secteurs pour discuter de tout ce qui concerne la bonne gestion de votre association. Ainsi, les finances, les communications, le sociopolitique font partie des sujets abordés successivement.
Le conseil national est également l’occasion de présenter diverses conférences aux participant·e·s afin qu’ils puissent alimenter les discussions lorsque vous avez des rencontres dans les secteurs. C’est avec beaucoup d’attention qu’ils ont écouté la conférencière invitée, Me Louise Cordeau, présidente du Conseil du statut de la femme et le portrait des 50 dernières années concernant les luttes féminines au Québec.
Le Conseil des ministres a procédé à la nomination au conseil d’administration de la Commission des normes, de l’équité, de la santé et de la sécurité du travail (CNESST) d’Éric Gingras, président de la CSQ. Après une absence de plus de 40 ans au sein de cette organisation, les efforts déployés depuis plusieurs années et par plusieurs personnes ont enfin porté fruit.
Cette nomination confirme la place importante qu’occupe la CSQ dans le domaine de la santé et de la sécurité des travailleuses et des travailleurs du Québec, de l’équité salariale ainsi que des conditions minimales de travail des personnes non syndiquées.
Pour l’Équipe SST, la nomination d’Éric Gingras est une motivation supplémentaire pour offrir un service de qualité en matière de santé et de sécurité du travail pour l’ensemble des membres de la CSQ.
Plusieurs membres de l’AREQ (CSQ) sont préoccupés par les impacts des écrans et des réseaux sociaux chez les jeunes.
Si c’est votre cas, nous vous invitons à participer à cette consultation en ligne de la Commission spéciale sur les impacts des écrans et des réseaux sociaux sur la santé et le développement des jeunes.
Dans un an, au mois d’octobre 2025, ce sera la fin du support de Windows 10 par Microsoft. Votre ordinateur fait partie des deux tiers qui fonctionnent encore sur cette plateforme?
Francois Charron, chroniqueur du magazine Quoi de neuf de l’AREQ, a préparé un dossier pour vous accompagner facilement et gratuitement :
vérifier si votre PC peut passer à Windows 11;
donner une 2e vie à votre ordinateur s’il ne peut pas être mis à jour;
Tous nos conseils ont été créés afin qu’une personne avec peu de connaissances informatiques soit capable d’effectuer elle-même les actions.
Venez tester votre ordinateur et laissez-nous vous aider à le faire fonctionner en toute sécurité pendant encore plusieurs années.
Félicitations à France Bouchard, du Syndicat de l’enseignement de la région de la Mitis, qui a gagné, le 12 juin dernier, un des deux chèques de 1 500 $ offert par La Personnelle dans le cadre du concours « Complice de vos loisirs » exclusif aux membres de la CSQ. Le prochain tirage aura lieu le 12 décembre 2024. Demandez une soumission d’assurance auto ou habitation et tentez la chance de gagner le deuxième chèque de 1 500 $!
Le dossier de la proche aidance est une priorité pour l’AREQ (CSQ). En effet, près du quart des membres se définissent comme des personnes proches aidantes, soit près de 15 000 personnes, selon nos plus récents sondages internes. C’est pourquoi l’AREQ vous invite à participer à cette enquête sur la santé des personnes proches aidantes au Québec, menée par l’Université de Montréal en collaboration avec le gouvernement du Québec.
Quel est l’objectif ?
Cette enquête a pour objectif d’évaluer l’état de santé des personnes proches aidantes âgées de 50 ans et plus au Québec.
Qui peut y participer ?
Il faut être une personne proche aidante.
Être une personne âgée de 50 ans ou plus.
Résider au Québec.
Ne pas vivre en Centre d’Hébergement et de Soins de Longue Durée (CHSLD) ou en secteur médicalisé d’une Résidence Pour Aînés.
Ne pas participer à une étude interventionnelle concomitante (étude impliquant la prise de médicaments ou une intervention thérapeutique, etc.).
Comment y participer ?
L’étude consiste à remplir un questionnaire en ligne à partir de votre cellulaire, ordinateur ou tablette. La durée de remplissage du questionnaire est d’environ 15 minutes. Ce questionnaire se remplit en une seule fois. Lorsque vous commencez à remplir le questionnaire, il ne vous sera pas possible d’arrêter et de le reprendre là où vous l’avez laissé.
Vous devez lire et accepter le formulaire d’information et de consentement pour participer à cette recherche.
Quel bénéfice personnel aurez-vous en remplissant le questionnaire de cette enquête ?
Vous pourrez obtenir une évaluation de votre état de santé que vous pourrez garder et, au besoin, transmettre à votre médecin.
« Je roule au gaz naturel produit ici ». C’est le slogan qu’on peut lire sur les portières des véhicules de la ville de Saint-Hyacinthe. Nous avons applaudi la mise en marche de cette usine de biométhanisation voilà déjà quelques années. La production de biogaz, parfois appelé « gaz naturel renouvelable » (GNR) est une façon de retirer le méthane des matières putrescibles et de le réutiliser à la place du gaz fossile dit naturel. Cela fait partie du « cycle court » du carbone. Le résidu (appelé digestat) peut devenir un engrais utile.[1] D’un point de vue climatique, il vaut donc mieux brûler le méthane que le laisser filer vers le ciel. Donc, en théorie, récupérer le méthane qui serait éventuellement rejeté dans l’atmosphère et gérer utilement les boues de l’usine d’épuration sont de très bonnes idées.
À l’usage, on découvre quelques pépins. Le procédé de biométhanisation se fait dans un biodigesteur, sorte « d’estomac » géant où des millions de milliards de bactéries digèrent la matière organique. Normalement, ça va bien. Cependant, il arrive que les bactéries aient une « indigestion ».[2] Comme pour un être humain qui a une indigestion, l’entourage doit subir des odeurs et des rejets peu ragoûtants qui sont l’antonyme du bon goût. Dans un tel cas, nous sommes tentés de dire au malotru : « Va péter ailleurs! »
L’utilisation des boues d’épuration dans une usine de biométhanisation est une bonne idée, mais parfois, elle dérange. Depuis le 30 mai, quatre articles, deux éditoriaux et deux lettres ouvertes du maire de Saint-Hyacinthe se sont retrouvés dans Le Courrier de Saint-Hyacinthe pour faire état de ces problèmes. Comme dommages collatéraux, les odeurs intermittentes obligent la ville à geler le développement immobilier dans ce secteur pour trois ans, sans oublier une poursuite judiciaire contre la ville par le groupe immobilier Robin.[3] Voilà quelques exemples concrets des désagréments que la biométhanisation peut faire subir au voisinage lorsqu’il y a des dérapages de ce procédé. En terre maskoutaine, nous avons présentement deux de ces usines qui sont en activité : celle de la ville sur la rue Girouard, et CTBM à Saint-Pie. On peut également penser à un projet de traitement du lisier que la Coop de Saint-Jean-Baptiste prévoit implanter à Saint-Damase.
Dans le cas de Saint-Pie, ce sont parfois des rejets d’une eau de couleur douteuse dans le ruisseau des Glaises qui posent problème.[4] Pour respecter la qualité de l’eau qui sort de son usine, le Centre de traitement de la biomasse de la Montérégie (CTBM) expédie les résultats de trois inspections par année à un laboratoire mandaté. Comme la compagnie n’enverra jamais des échantillons lorsque les « bactéries sont en grève », ces tests sont peu utiles. Des citoyens riverains ont demandé que des inspections soient faites sans préavis par ce laboratoire. La compagnie s’y oppose. Pourtant, une usine de filtration ou de purification de l’eau d’une municipalité doit fournir des tests de la qualité de l’eau quotidiennement. Pourquoi CTBM aurait-elle la présomption de fournir seulement trois tests annuellement? Tout comme à Saint-Hyacinthe, c’est la qualité de l’eau du bassin versant de la Yamaska et les citoyens qui vivent à proximité de l’usine qui subissent les contrecoups lorsque « ça va mal »!
Si elle est bien faite, la biométhanisation peut être une bonne manière de gérer les boues d’épuration et certaines matières putrescibles. Mais cette technologie sera toujours une façon marginale de produire du méthane. N’en déplaise à la publicité quasi mensongère d’Énergir, cela ne représente qu’environ 1% de ce qui circule dans les tuyaux de la compagnie, même si on espère pouvoir augmenter ce ratio légèrement.[5] Bien sûr, cette production de méthane peut faire rouler la flotte de véhicules de Saint-Hyacinthe, mais c’est nettement insuffisant pour tous les besoins d’énergie du Québec, qu’ils soient thermiques ou électriques. Le reste du gaz dit naturel provient de la fracturation hydraulique. Donc, la très vaste majorité du gaz « naturel » d’Énergir est un carburant fossile dont l’empreinte totale est pire que celle du charbon. Alors, il faut prendre la publicité d’Énergir avec des pincettes, [6] car, dans ce dossier et dans le cadre des changements climatiques, l’objectif est de gérer les boues et les lisiers sans oublier la qualité de l’eau de la Yamaska. La biométhanisation ne doit jamais être un remède qui soit pire que la pollution originale!
En recherche et développement, il est normal qu’une nouvelle technologie ait besoin d’une période de rodage avant d’être complètement à point. Dans une lettre ouverte en date du 13 juin, le maire de Saint-Hyacinthe, M. Beauregard, affirmait que « la ville a décidé de s’attaquer à la situation afin de diminuer, voire d’enrayer, cette source de désagréments. » Le nez collectif des Maskoutains a bien hâte que ces améliorations deviennent réalité. Il en va de même pour les Saint-Piens!
Gérard Montpetit, Montérégie (09) secteur Richelieu-Yamaska (H) et membre du CCCPEM
Vous aimeriez voir (ou revoir) la prise de parole de Micheline Germain, présidente de l’AREQ, lors de la marche organisée pour le 1er octobre? Voici deux vidéos récapitulatives de l’événement.
Rappel :
Sous le thème « Agissons ensemble pour le mieux-être des aîné.e.s », plus de 500 personnes se sont rassemblées à Québec et 1000 à Montréal afin de participer à deux grandes marches soulignant la Journée internationale des personnes âgées le 1er octobre dernier. Cette journée visait à honorer les personnes aînées et les remercier pour leur contribution à la collectivité.
Depuis plus d’un an, l’AREQ travaille sur son image de marque. Nouveau nom, nouveau logo et nouvelle grille graphique.
Nous arrivons bientôt à la fin de l’implantation de cette image de marque et c’est maintenant au tour du magazine Quoi de neuf de faire peau neuve.
Comme vous pouvez le constater en parcourant la publication, nous vous proposons désormais un graphisme plus moderne et épuré, qui met de l’avant la sensibilité et l’expertise de l’AREQ. Que ce soit le choix des couleurs, des polices, des images ou du graphisme, rien n’est laissé au hasard.
Cette année, le thème et l’affiche sont le fruit d’un processus de consultation ayant eu lieu dans le cadre de la dernière rencontre des responsables régionaux du dossier des hommes, en collaboration avec Catapulte communication.
Tous ensemble, tout simplement
Peu importe le bagage qui nous singularise ou notre genre, nous pouvons soutenir les différentes initiatives s’inscrivant au cours de cette journée. La santé et le bien-être des hommes transcendent la notion de genre.
Quant à elle, l’affiche illustre des hommes de différents âges et de diverses origines ethniques. Regroupés de profil, ils regardent vers un avenir moins sombre, tantôt parsemé de défis sur le plan de l’identité ou de la redéfinition de rôles sociaux, mais somme toute plus prometteur et marqué par la solidarité avec les femmes qui composent leur entourage.
Merci de contribuer au rayonnement de cette journée!
Le 27 septembre dernier avait lieu la mobilisation provinciale s’inscrivant dans le cadre du Mouvement pour la suite du monde, duquel l’AREQ fait partie.
Partout au Québec, des gens, issus de la société civile, se sont regroupés pour exprimer leur ras-le-bol face aux décisions politiques. Ces dernières vont trop souvent à l’encontre des principes de transition sociale et environnementale. Que ce soit en marchant, en se faisant entendre grâce à des communiqués, des affiches originales, des slogans chantés ou en prenant part à diverses activités telles que la plantation de graines d’asclépiades, ils ont ensemble transmis un message clair au gouvernent du Québec; il est grand temps que ce dernier applique les solutions qui font consensus et qu’il agisse pour assurer aux générations futures un avenir viable.
Le Mouvement pour la suite du monde regroupe des organisations syndicales, environnementales, de santé, de l’économie, communautaires, étudiantes et des collectifs de citoyen·ne·s et d’élu·e·s autour d’une vision démocratique de la transition environnementale et sociale. À ce jour, ce mouvement rassemble une cinquantaine d’organisations qui représentent plus de deux millions de personnes au Québec.
Félicitations à tous les membres de l’AREQ qui militent pour la cause et qui ont pris part à cette grande mobilisation.
La coordonnatrice du CISO, Amélie Nguyen, annonçait à l’Assemblée générale que le CISO aurait bientôt 50 ans d’existence. J’ai participé à la fondation du CISO en 1975, qui a été créé par les centrales syndicales, dont la CEQ, et par des comités québécois de solidarité avec le tiers-monde.
C’était le temps de la lutte des ouvriers agricoles de la Californie et du Mexique. Le tiers-monde était en ébullition. On avait mis Mandela en prison en Afrique du Sud raciste. Au Chili, le président Salvador Allende avait été assassiné. Plusieurs mouvements syndicaux se battaient pour l’indépendance de leurs pays en Afrique ou au Moyen-Orient. Ce rappel est un peu court, mais vous avez le contexte.
L’Assemblée générale du 30 septembre
Cinquante ans plus tard, le CISO est toujours vivant. Il a survécu aux divisions syndicales et aux coupes dans les budgets gouvernementaux d’aide internationale.
À la réunion du 30 septembre, une cinquantaine de membres délégués de leurs centrales ou de leurs fédérations syndicales respectives et quelques membres individuels militants de la première heure étaient présents.
Avec un tout petit budget adopté le 30 (un peu plus de 300 000 $), le CISO reste dynamique. Il a l’appui de ses militants et de ses bénévoles. Les contributions des syndicats et quelques modestes subventions gouvernementales des ministères à vocation internationale permettent au CISO de maintenir ses trois domaines d’activités.
L’éducation à la solidarité internationale au sein d’activités de formation, de journées d’étude et de stages sur le terrain. Des campagnes de solidarité pour des travailleurs du Sud, actuellement pour des travailleurs mexicains œuvrant dans la récupération des déchets notamment. De jeunes syndicalistes québécois vont aussi rencontrer prochainement des syndicats colombiens. Présence internationale essentielle dans un pays où être syndiqué est un facteur de risque élevé. Présence aussi pour témoigner des conditions de vie difficiles des travailleuses et des travailleurs colombiens. Il faut noter la présence de compagnies minières canadiennes dans ce pays.
Les travailleuses et travailleurs du textile et des vêtements du Bangladesh font aussi l’objet de campagnes d’appui.
Enfin, le CISO continue son plaidoyer auprès des instances gouvernementales concernant l’aide humanitaire.
Le CISO est administré par un conseil composé de 15 membres provenant des divers syndicats et de groupes communautaires. Six postes étaient en élection le 30 septembre.
Si le monde ouvrier et le tiers-monde ont beaucoup changé en 50 ans, la solidarité internationale demeure essentielle.
À surveiller dans les prochains mois, la campagne de financement pour célébrer les 50 ans du CISO en 2025.
Micheline Jourdain
Membre individuelle du CISO et représentante de l’AREQ au CISO