Les revendications de l’AREQ pour l’environnement ont de l’écho en Mauricie!

Pour les membres de l’AREQ, c’est clair, il faut en faire plus en environnement. À cet effet et selon un récent sondage CROP, 94 % des membres de l’AREQ sont préoccupés par les enjeux climatiques. C’est pourquoi notre association a laissé une place importante au dossier de l’environnement parmi les 15 revendications de l’AREQ dans le cadre de la campagne électorale fédérale actuelle.

Nous avons d’ailleurs fait réfléchir l’équipe de Que La Mauricie se lève qui a discuté de nos revendications sur les ondes du 106.9 FM.

Élections fédérales 2019 : l’AREQ dévoile ses revendications pour l’environnement

Le 26 septembre, l’AREQ dévoilait ses revendications en environnement dans le cadre de la campagne électorale fédérale 2019. Ces revendications s’appuient sur un récent sondage CROP qui révèle que 94 % des membres de l’AREQ sont préoccupés par les changements climatiques. Alors que les jeunes de partout dans le monde se lèvent pour revendiquer des actions concrètes, les personnes aînées veulent les soutenir dans leurs demandes légitimes.

« Nous sommes pour la plupart des grands-parents et le sort des générations futures nous préoccupe énormément. D’après les données scientifiques sur les changements climatiques, il est évident que les gouvernements devront en faire davantage pour assurer un environnement viable à nos petits-enfants », a souligné Lise Lapointe, présidente de l’AREQ.

Des revendications concrètes

  • Interdire les plastiques à usage unique d’ici 2030.
  • Réduire les émissions de gaz à effet de serre (GES) à hauteur de 50 % d’ici 2030 et de 100 % d’ici 2050, d’après l’année de référence de 2010.
  • Retirer l’approbation aux pesticides dangereux, tel le glyphosate, et réformer le processus d’homologation des pesticides afin de tenir compte uniquement des études indépendantes de l’industrie (études publiées dans des journaux scientifiques, publiques et révisées par des pairs) comme le fait l’OMS.
  • Maintenir le processus d’évaluation environnementale introduit par la Loi C-69 qui rétablit une participation du public et des communautés autochtones touchées par un projet dès la phase de planification (par exemple pour les projets d’oléoducs).

Depuis des années, l’AREQ lutte pour l’environnement et pour le développement durable. D’ailleurs, plusieurs actions de sensibilisation sont réalisées par l’AREQ et ses membres à travers le Québec.

« Nous avons revendiqué l’abolition des sacs de plastique à usage unique, exigé la consigne des bouteilles de vin, organisé des conférences avec des experts pour informer les personnes aînées et les sensibiliser à la lutte aux changements climatiques. Nous croyons que chaque geste individuel compte, mais il faut maintenant des changements en profondeur dans notre société », a conclu Mme Lapointe.

D’ailleurs, plusieurs personnes retraitées étaient présentes lors de la marche pour le climat du 27 septembre à Québec, dont Jacques Boucher, président du secteur Cap-Diamant.

Réforme du mode de scrutin : on avance ou on recule?

Six mois avant les dernières élections provinciales, François Legault s’était engagé à réformer le mode de scrutin avant 2022. Or, le projet de loi présenté le 25 septembre par la ministre Sonia LeBel confirme que la prochaine élection se déroulera encore selon le mode uninominal à un tour. Par ailleurs, les électrices et les électeurs auront à se prononcer par référendum sur l’instauration de la proportionnelle mixte lors des prochaines élections provinciales.

Il s’agit tout de même d’une réelle avancée historique. Pour la première fois au Québec, le gouvernement met sur la table un projet de loi proposant un nouveau mode de scrutin proportionnel.

Toutefois, l’AREQ rappelle que ce gouvernement avait été élu avec l’engagement de réformer le mode de scrutin dans un premier mandat. Ainsi, soumettre ce projet de loi à un référendum ne constitue qu’un obstacle supplémentaire à une avancée qui était pourtant déjà légitimée lors de l’élection de ce gouvernement.

L’AREQ demande des gestes concrets pour améliorer les conditions de vie en hébergement

Le 24 septembre, l’AREQ s’est dite satisfaite de la décision d’un juge de la Cour supérieure du Québec d’autoriser un recours collectif de 500 millions de dollars contre le gouvernement du Québec en raison de la maltraitance organisationnelle en CHSLD. Cette démarche juridique doit rendre justice aux personnes hébergées et à leurs proches qui ont souffert de cette forme de maltraitance depuis des années, et forcer le gouvernement à rehausser le niveau de services en CHSLD.

Des réformes et des compressions budgétaires qui ont fait mal 

Le réseau de la santé a souffert des contrecoups des dernières réformes et des compressions budgétaires. Il en a notamment résulté une dégradation des conditions de travail pour les personnes qui œuvrent quotidiennement auprès des aînés en CHSLD. D’ailleurs, l’AREQ a dénoncé publiquement cette situation de maltraitance organisationnelle en 2018, en interpellant la protectrice du citoyen.

« Dans son plus récent rapport sur les soins de longue durée, la protectrice du citoyen avait clairement démontré les effets pernicieux des réformes et des compressions sur la qualité des soins. Si nous voulons offrir une qualité de vie digne à celles et à ceux qui ont bâti le Québec, cela doit passer par l’ajout de ressources qualifiées et des conditions de travail adéquates », a rappelé Lise Lapointe, présidente de l’AREQ.

L’AREQ accueille positivement l’annonce de 280 M$ pour les soins à domicile par le gouvernement du Québec

Le 23 septembre, l’AREQ a accueilli positivement la décision du gouvernement du Québec de hausser le financement des soins à domicile. Néanmoins, l’AREQ restera vigilante quant à la façon dont seront dépensés les 280 M$ annoncés.

« Depuis des années, les personnes aînées demandent que les soins à domicile soient une priorité au Québec. Nous voulons vivre là où nous le souhaitons et le plus longtemps possible. Les nouvelles sommes annoncées par le gouvernement sont donc un pas dans la bonne direction », a souligné Lise Lapointe, présidente de l’AREQ.

Rappelons toutefois que le Vérificateur général du Québec a, à maintes reprises, démontré que les sommes prévues pour les soins à domicile dans le réseau de la santé n’étaient pas toujours dépensées à cet effet. En ce sens, l’AREQ a toujours revendiqué une enveloppe protégée pour les soins à domicile.

Élections 2019 : l’AREQ demande aux partis politiques de s’engager à sortir les aînés de la pauvreté

Le 20 septembre, l’AREQ dévoilait ses premières revendications dans le cadre de la présente campagne électorale fédérale 2019. Celles-ci touchent le revenu des personnes aînées. Il est impératif que les personnes qui aspirent à former le gouvernement se préoccupent des revenus à la retraite.

« Les aînés ont contribué toute leur vie à bâtir la société dans laquelle nous vivons aujourd’hui. Il est inconcevable qu’au moment de la retraite, une personne ne puisse vivre dignement par manque de revenus. En plus de voir ses revenus stagner, une personne aînée peut voir ses dépenses augmenter rapidement en hébergement et en soins de santé », a soutenu Lise Lapointe, présidente de l’AREQ.

Des revendications concrètes

  • Maintenir à 65 ans l’âge auquel il est possible de retirer sa pension de Sécurité de la vieillesse (PSV).
  • Prévoir la mise en place de mesures pour faciliter le maintien au travail des travailleuses et travailleurs aînés qui le veulent et les encourager à retarder leur prise de retraite sur une base facultative.
  • Augmenter le Supplément de revenu garanti (SRG) afin que celui-ci atteigne ses objectifs, soit de compléter la rente des personnes à faible revenu et de garantir le maintien et la durabilité de leur pouvoir d’achat.
  • Modifier la Loi sur la faillite et l’insolvabilité et la Loi sur les arrangements avec les créanciers des compagnies pour que les retraités soient prioritaires au même titre que les créanciers garantis et les banques.

Selon Statistique Canada, nous évaluons le taux de personnes aînées en situation de pauvreté à 15 %. Au Québec, un peu moins d’une personne aînée sur cinq vit avec un revenu annuel allant de 18 012 $ à 23 513 $. Or, selon l’Institut de recherche et d’informations socio-économiques (IRIS), nous évaluons le revenu viable à 27 205 $ pour une personne seule à Montréal et à 23 888 $ dans une ville comme Saguenay.

Élections fédérales 2019 : un outil qui recense les propositions de six partis politiques

Le 18 septembre, Radio-Canada dévoilait un comparateur de programmes électoraux pour faciliter la recherche des électrices et électeurs qui veulent en savoir plus sur ce que proposent six des principaux partis politiques de la présente campagne électorale fédérale.

Ainsi, l’outil en ligne recense les principaux engagements tout au long de la campagne et sera donc mis à jour continuellement. Il est possible de faire une recherche par thème ou par parti.

Pour sa part, l’AREQ dévoilera prochainement 15 revendications pour une société plus juste envers les personnes aînées. Chaque semaine, nous nous concentrerons sur un thème qui préoccupe nos membres en vertu du plan d’action national de l’AREQ 2017-2020.

L’épisode 9 de L’heure juste est en ligne!

Pour ce 9e épisode de l’émission de radio de l’AREQ, nous recevons Audrey Marcil, coordonnatrice des services en prévention de la détresse et formatrice au Carrefour Le Moutier, à Longueuil. Cet organisme communautaire aide les gens à mieux comprendre leur pouvoir d’agir à l’égard de la détresse. Nous avons notamment parlé de la détresse chez les personnes aînées.

Puis, Dominic Provost, directeur général de l’AREQ, est venu nous parler de la tournée du conseil exécutif (CE) de l’AREQ qui a débuté en septembre. Les membres du CE de l’AREQ prévoient ainsi faire le tour du Québec pour rencontrer les personnes déléguées en prévision du Congrès de juin 2020. Il était aussi question des résultats d’un récent sondage CROP auprès des membres de l’AREQ.

Bonne écoute!

L’AREQ déplore l’intention du gouvernement de reculer sur la réforme du mode de scrutin

Depuis plusieurs années, l’Association des retraitées et retraités de l’éducation et des autres services publics du Québec (AREQ-CSQ) milite pour une réforme du mode de scrutin au Québec. Elle a d’ailleurs fait de cet enjeu un élément de son plan d’action triennal 2017-2020. Alors que le premier ministre François Legault s’était engagé à le faire dans son premier mandat, la ministre Sonia LeBel a finalement laissé entendre que son gouvernement renierait sa promesse. Ainsi, l’AREQ a réagi par voie de communiqué afin d’exiger un mode de scrutin proportionnel aux prochaines élections provinciales.

« Les personnes aînées en ont vu des gouvernements passer et des promesses brisées. Reculer sur la promesse d’un changement de mode de scrutin ne ferait qu’attiser le cynisme dans la population. Ainsi, nous exigeons une démocratie plus représentative dès 2022, pour les aînés, et pour les générations futures », a soutenu Lise Lapointe, présidente de l’AREQ.

Rappelons que l’AREQ s’intéresse depuis longtemps à l’idée d’une réforme du mode de scrutin pour un plus grand respect de la volonté populaire, du pluralisme politique, ainsi qu’une juste représentation des femmes et de la diversité ethnoculturelle tout en reflétant les particularités régionales du Québec.

Élections fédérales 2019 – Que comptent faire les partis pour réduire de 50 % le taux de pauvreté d’ici 2030?

Le 13 septembre, au début de la campagne électorale fédérale, le Collectif pour un Québec sans pauvreté, dont l’AREQ est membre, a demandé aux partis politiques de parler de lutte contre la pauvreté pendant la campagne, de faire connaître publiquement leurs engagements en la matière et de répondre à une question simple : « Si vous prenez le pouvoir le 21 octobre, que comptez-vous faire pour réduire de 50 % le taux de pauvreté d’ici 2030? ».

Cette question a été envoyée le 12 septembre aux chefs et à la cheffe des partis qui étaient représentés à la Chambre des communes lors du déclenchement de la campagne électorale.

D’après Statistique Canada, 3,4 millions de Canadiennes et de Canadiens vivaient dans la pauvreté en 2017.

Le Collectif pour un Québec sans pauvreté

Actif depuis 1998, le Collectif pour un Québec sans pauvreté regroupe 36 organisations nationales québécoises, populaires, communautaires, syndicales, religieuses, féministes, étudiantes, coopératives ainsi que des collectifs régionaux dans la plupart des régions du Québec.

Jugement de la Cour supérieure du Québec sur l’aide médicale à mourir

Le 11 septembre, la Cour supérieure du Québec a tranché que les personnes atteintes d’une maladie incurable et qui souffrent au quotidien doivent avoir accès à l’aide médicale à mourir même si elles ne sont pas en fin de vie. Ainsi, la Cour supérieure du Québec rejette l’idée que l’aide médicale à mourir équivaut au suicide, comme le plaidait le représentant du Procureur général du Canada.

L’AREQ continue de suivre ce dossier de très près. L’année dernière, l’AREQ a mis sur pied un groupe de travail étudiant notamment la question de l’élargissement de l’aide médicale à mourir. À cet effet, l’AREQ s’attend à ce que le gouvernement de François Legault ouvre une commission parlementaire pour un dialogue non partisan qui accueillera les experts et la société civile. Nous serons prêts à y déposer un mémoire avec nos recommandations issues d’une longue réflexion et de travaux sérieux basés sur le respect de l’autonomie décisionnelle des personnes aînées.

Tournée du CE en Abitibi-Témiscamingue

Les membres du conseil exécutif de l’AREQ nationale étaient de passage à Rouyn-Noranda, le 11 septembre, dans le cadre d’une tournée des régions. La rencontre visait à prendre le pouls des personnes qui formeront la délégation de l’Abitibi-Témiscamingue au prochain Congrès et à discuter des résultats d’un sondage CROP mené récemment auprès des membres de l’AREQ.

Les aînés préoccupés par les enjeux climatiques

Si les gens ont tendance à croire que l’environnement n’intéresse que les jeunes, détrompez-vous. Un sondage CROP mené récemment démontre clairement qu’il s’agit d’une priorité pour les membres de l’AREQ de l’Abitibi-Témiscamingue. En effet, on y apprend que 95 % des personnes sondées dans la région se sont dites préoccupées par les changements climatiques.

Mettons fin à la maltraitance

Depuis plusieurs années, la société québécoise est davantage sensibilisée au phénomène de la maltraitance envers les personnes aînées, qu’elle soit physique, psychologique, financière ou organisationnelle. Néanmoins, encore 12 % des membres sondés en Abitibi-Témiscamingue ont affirmé connaître une personne aînée ayant été victime de maltraitance.

Enfin, rappelons que le 47e Congrès de l’AREQ aura lieu en juin 2020 à Québec et réunira près de 650 personnes déléguées de l’ensemble des régions. Cet important événement permettra de débattre et d’adopter les grandes orientations de l’Association pour le triennat 2020-2023.

Une pétition pour abolir les frais de stationnement dans les hôpitaux et les CHSLD

L’AREQ milite activement pour faciliter l’accès aux soins de santé et pour briser l’isolement des personnes aînées hébergées en CHSLD. Or, les frais de stationnement peuvent s’avérer un obstacle considérable pour les usagers et leurs proches. Pour une période de 24 h, il peut en coûter 20 $ et même 24 $ dans certains établissements de santé au Québec.

En ce sens, l’AREQ tient à informer ses membres d’une pétition qui a été déposée récemment à l’Assemblée nationale du Québec (par la station de radio FM93) demandant l’abolition des frais de stationnement dans les hôpitaux et les CHSLD. Rappelons que la formation politique de François Legault proposait, en 2016, que le stationnement des hôpitaux soit gratuit pour les deux premières heures et, en 2018, le plafonnement des frais de stationnement dans les hôpitaux à 10 $ pour 24 heures.

L’AREQ juge inacceptable d’exiger des frais de stationnement élevés, surtout lorsqu’une personne proche aidante prend le temps de donner des soins à une personne hébergée. D’ailleurs, dans un mémoire déposé à l’Assemblée nationale en 2017, l’AREQ recommandait d’obliger les établissements du réseau de la santé et des services sociaux à fixer des tarifs raisonnables pour les stationnements situés à proximité des centres hospitaliers, des centres d’hébergement et de soins de longue durée, des centres locaux de services communautaires et des centres de réadaptation.

27 septembre – Mobilisation citoyenne pour le climat

Selon un récent sondage CROP, 94 % des membres de l’AREQ se disent préoccupés par les changements climatiques. Ils veulent léguer un avenir meilleur aux générations futures.

À cet effet, sachez qu’il y aura une mobilisation citoyenne et étudiante pour le climat qui aura lieu le 27 septembre partout à travers le Québec. L’AREQ invite ses membres à y participer :

Le 10 septembre, allumez une chandelle pour la prévention du suicide

Le 10 septembre, les Québécois ont été invités à allumer une chandelle afin de démontrer leur appui à la prévention du suicide, leur soutien aux nombreux endeuillés par suicide ou en souvenir d’un être cher.

D’année en année, cette action prend racine et devient même un rituel pour de nombreuses personnes touchées par la cause. Allumer une chandelle, c’est poser un geste symbolique. La lumière et la chaleur contribuent à créer un moment propice au recueillement et à l’espoir, un temps pour se souvenir de nos proches et souligner notre attachement à la vie. C’est un geste concret, doux et accessible.

Les photos de cette activité symbolique peuvent être partagées sur l’événement Facebook.

L’Association québécoise de prévention du suicide estime que chaque année au Québec, environ 140 aînés de plus de 65 ans s’enlèvent la vie.

L’AREQ se joint à la « Coalition pour la réforme électorale maintenant ! »

Le 6 septembre, l’AREQ a joint sa voix à des dizaines d’organisations issues de tous les secteurs de la société civile (groupes de femmes, associations de retraités, de jeunes, d’étudiants, syndicats, environnementalistes, milieu communautaire) et regroupant déjà des millions de personnes, afin de promouvoir la réforme électorale au Québec.

Ensemble, nous avons lancé la Coalition pour la réforme électorale maintenant ! pour que le gouvernement de François Legault respecte sa promesse électorale de réformer le mode de scrutin à temps pour les élections de 2022.

La Coalition s’est donné pour objectifs de promouvoir un vaste mouvement populaire en faveur de la réforme électorale partout au Québec, d’informer et de sensibiliser largement la population aux enjeux de la réforme électorale, d’amener le gouvernement à tenir ses promesses et de renforcer la démocratie au Québec en contribuant à la tenue d’élections selon le nouveau mode de scrutin dès 2022.

Une formation des responsables régionales du dossier des femmes bien remplie!

Le 6 septembre, les responsables régionales du dossier des femmes de l’AREQ se sont réunies à Québec pour une journée complète de formation. En avant-midi avait lieu une conférence de Christine Laliberté, présidente de l’Association des infirmières praticiennes spécialisées du Québec (AIPSQ) au sujet du rôle et des compétences des infirmières praticiennes. Mme Laliberté a expliqué plus en détail le projet de clinique Archimède de la clinique médicale Saint-Vallier, à Québec.

En après-midi, il a été question des nouvelles tendances alimentaires avec une conférence de Soren Harnois-Leblanc, membre de l’Ordre professionnel des diététistes du Québec (OPDQ) et étudiante au doctorat en santé publique – épidémiologie de l’Université de Montréal et du Centre hospitalier universitaire Sainte-Justine. La conférence portait notamment sur les distinctions entre végétariens, végétaliens et véganes, sur les motivations environnementales, ainsi que sur les avantages et les précautions d’une alimentation végétarienne chez les personnes aînées.

Un nouveau rapport propose de geler le salaire des médecins au Québec

Dans un rapport intitulé « La rémunération des médecins : une approche économique », l’Institut du Québec (IDQ) vient démontrer que le rattrapage salarial des médecins québécois aurait non seulement été atteint, mais il aurait même été dépassé, particulièrement dans le cas des médecins de famille.

L’Institut suggère ainsi un gel ou une croissance très lente de la rémunération, que l’on observe d’ailleurs dans les dernières ententes avec les fédérations, en plus du réaménagement des enveloppes salariales permettant à l’État d’obtenir de meilleurs résultats en matière de services pour les sommes qu’il a consenties.

En juin 2018, l’AREQ déposait une pétition de 9 227 signataires invitant la société québécoise à débattre du mode de rémunération des médecins. Selon plusieurs études récentes, revoir le mode de rémunération des médecins permettrait de réduire la part du budget du gouvernement qui y est consacrée et ainsi d’assurer une meilleure accessibilité.

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