Premier conseil national de l’AREQ cette année

Entre le 29 et le 31 octobre avait lieu à Québec le premier conseil national de l’AREQ pour l’année 2024-2025. Cette instance est l’occasion de rassembler les présidents des régions et des secteurs pour discuter de tout ce qui concerne la bonne gestion de votre association. Ainsi, les finances, les communications, le sociopolitique font partie des sujets abordés successivement.

Le conseil national est également l’occasion de présenter diverses conférences aux participant·e·s afin qu’ils puissent alimenter les discussions lorsque vous avez des rencontres dans les secteurs. C’est avec beaucoup d’attention qu’ils ont écouté la conférencière invitée, Me Louise Cordeau, présidente du Conseil du statut de la femme et le portrait des 50 dernières années concernant les luttes féminines au Québec.

Mot d’ouverture de la présidente de l’AREQ, Micheline Germain

Dernière chance!! Courez la chance de gagner l’un des 5 iPad! – Grand sondage pour les membres de l’AREQ

Votre opinion joue un rôle crucial dans les orientations de l’AREQ.

L’AREQ lance un grand sondage auprès de ses membres sur un éventail de sujets qui les concernent.

Participez et courez la chance de gagner l’une des cinq tablettes électroniques (iPad)! Une chance par répondant.

Pour participer, numérisez le code QR ou utilisez le lien suivant : sondageareq2024.com.

Vos réponses permettront à l’AREQ de mieux comprendre votre réalité et de connaître votre position face à divers enjeux.

Merci d’avance pour votre engagement !

Nomination d’Éric Gingras au conseil d’administration de la CNESST

Le Conseil des ministres a procédé à la nomination au conseil d’administration de la Commission des normes, de l’équité, de la santé et de la sécurité du travail (CNESST) d’Éric Gingras, président de la CSQ. Après une absence de plus de 40 ans au sein de cette organisation, les efforts déployés depuis plusieurs années et par plusieurs personnes ont enfin porté fruit.

Cette nomination confirme la place importante qu’occupe la CSQ dans le domaine de la santé et de la sécurité des travailleuses et des travailleurs du Québec, de l’équité salariale ainsi que des conditions minimales de travail des personnes non syndiquées.

Pour l’Équipe SST, la nomination d’Éric Gingras est une motivation supplémentaire pour offrir un service de qualité en matière de santé et de sécurité du travail pour l’ensemble des membres de la CSQ.

C’est la fin pour Windows 10!

Dans un an, au mois d’octobre 2025, ce sera la fin du support de Windows 10 par Microsoft. Votre ordinateur fait partie des deux tiers qui fonctionnent encore sur cette plateforme?

Francois Charron, chroniqueur du magazine Quoi de neuf de l’AREQ, a préparé un dossier pour vous accompagner facilement et gratuitement :

  • vérifier si votre PC peut passer à Windows 11;
  • donner une 2e vie à votre ordinateur s’il ne peut pas être mis à jour;

Tous nos conseils ont été créés afin qu’une personne avec peu de connaissances informatiques soit capable d’effectuer elle-même les actions.

Venez tester votre ordinateur et laissez-nous vous aider à le faire fonctionner en toute sécurité pendant encore plusieurs années.

www.francoischarron.com/finwin10/

Gagnante du premier tirage du concours CSQ 2024

Félicitations à France Bouchard, du Syndicat de l’enseignement de la région de la Mitis, qui a gagné, le 12 juin dernier, un des deux chèques de 1 500 $ offert par La Personnelle dans le cadre du concours « Complice de vos loisirs » exclusif aux membres de la CSQ. Le prochain tirage aura lieu le 12 décembre 2024. Demandez une soumission d’assurance auto ou habitation et tentez la chance de gagner le deuxième chèque de 1 500 $!

Pour participer : lapersonnelle.com/concourscsq

Enquête sur la santé des personnes proches aidantes au Québec

Le dossier de la proche aidance est une priorité pour l’AREQ (CSQ). En effet, près du quart des membres se définissent comme des personnes proches aidantes, soit près de 15 000 personnes, selon nos plus récents sondages internes. C’est pourquoi l’AREQ vous invite à participer à cette enquête sur la santé des personnes proches aidantes au Québec, menée par l’Université de Montréal en collaboration avec le gouvernement du Québec.

Quel est l’objectif ?

Cette enquête a pour objectif d’évaluer l’état de santé des personnes proches aidantes âgées de 50 ans et plus au Québec.

Qui peut y participer ?

  • Il faut être une personne proche aidante.
  • Être une personne âgée de 50 ans ou plus.
  • Résider au Québec.
  • Ne pas vivre en Centre d’Hébergement et de Soins de Longue Durée (CHSLD) ou en secteur médicalisé d’une Résidence Pour Aînés.
  • Ne pas participer à une étude interventionnelle concomitante (étude impliquant la prise de médicaments ou une intervention thérapeutique, etc.).

Comment y participer ?

L’étude consiste à remplir un questionnaire en ligne à partir de votre cellulaire, ordinateur ou tablette. La durée de remplissage du questionnaire est d’environ 15 minutes. Ce questionnaire se remplit en une seule fois. Lorsque vous commencez à remplir le questionnaire, il ne vous sera pas possible d’arrêter et de le reprendre là où vous l’avez laissé.

Vous devez lire et accepter le formulaire d’information et de consentement pour participer à cette recherche.

Quel bénéfice personnel aurez-vous en remplissant le questionnaire de cette enquête ?

Vous pourrez obtenir une évaluation de votre état de santé que vous pourrez garder et, au besoin, transmettre à votre médecin.

Participer à l’enquête sur la santé des personnes proches aidantes au Québec

Nos membres s’expriment

Le GNR et ses « bibittes »

« Je roule au gaz naturel produit ici ». C’est le slogan qu’on peut lire sur les portières des véhicules de la ville de Saint-Hyacinthe. Nous avons applaudi la mise en marche de cette usine de biométhanisation voilà déjà quelques années. La production de biogaz, parfois appelé « gaz naturel renouvelable » (GNR) est une façon de retirer le méthane des matières putrescibles et de le réutiliser à la place du gaz fossile dit naturel. Cela fait partie du « cycle court » du carbone. Le résidu (appelé digestat) peut devenir un engrais utile.[1] D’un point de vue climatique, il vaut donc mieux brûler le méthane que le laisser filer vers le ciel. Donc, en théorie, récupérer le méthane qui serait éventuellement rejeté dans l’atmosphère et gérer utilement les boues de l’usine d’épuration sont de très bonnes idées.

À l’usage, on découvre quelques pépins. Le procédé de biométhanisation se fait dans un biodigesteur, sorte « d’estomac » géant où des millions de milliards de bactéries digèrent la matière organique. Normalement, ça va bien. Cependant, il arrive que les bactéries aient une « indigestion ».[2] Comme pour un être humain qui a une indigestion, l’entourage doit subir des odeurs et des rejets peu ragoûtants qui sont l’antonyme du bon goût. Dans un tel cas, nous sommes tentés de dire au malotru : « Va péter ailleurs! »

L’utilisation des boues d’épuration dans une usine de biométhanisation est une bonne idée, mais parfois, elle dérange. Depuis le 30 mai, quatre articles, deux éditoriaux et deux lettres ouvertes du maire de Saint-Hyacinthe se sont retrouvés dans Le Courrier de Saint-Hyacinthe pour faire état de ces problèmes. Comme dommages collatéraux, les odeurs intermittentes obligent la ville à geler le développement immobilier dans ce secteur pour trois ans, sans oublier une poursuite judiciaire contre la ville par le groupe immobilier Robin.[3] Voilà quelques exemples concrets des désagréments que la biométhanisation peut faire subir au voisinage lorsqu’il y a des dérapages de ce procédé. En terre maskoutaine, nous avons présentement deux de ces usines qui sont en activité : celle de la ville sur la rue Girouard, et CTBM à Saint-Pie. On peut également penser à un projet de traitement du lisier que la Coop de Saint-Jean-Baptiste prévoit implanter à Saint-Damase.

Dans le cas de Saint-Pie, ce sont parfois des rejets d’une eau de couleur douteuse dans le ruisseau des Glaises qui posent problème.[4] Pour respecter la qualité de l’eau qui sort de son usine, le Centre de traitement de la biomasse de la Montérégie (CTBM) expédie les résultats de trois inspections par année à un laboratoire mandaté. Comme la compagnie n’enverra jamais des échantillons lorsque les « bactéries sont en grève », ces tests sont peu utiles. Des citoyens riverains ont demandé que des inspections soient faites sans préavis par ce laboratoire. La compagnie s’y oppose. Pourtant, une usine de filtration ou de purification de l’eau d’une municipalité doit fournir des tests de la qualité de l’eau quotidiennement. Pourquoi CTBM aurait-elle la présomption de fournir seulement trois tests annuellement? Tout comme à Saint-Hyacinthe, c’est la qualité de l’eau du bassin versant de la Yamaska et les citoyens qui vivent à proximité de l’usine qui subissent les contrecoups lorsque « ça va mal »!

Si elle est bien faite, la biométhanisation peut être une bonne manière de gérer les boues d’épuration et certaines matières putrescibles. Mais cette technologie sera toujours une façon marginale de produire du méthane. N’en déplaise à la publicité quasi mensongère d’Énergir, cela ne représente qu’environ 1% de ce qui circule dans les tuyaux de la compagnie, même si on espère pouvoir augmenter ce ratio légèrement.[5] Bien sûr, cette production de méthane peut faire rouler la flotte de véhicules de Saint-Hyacinthe, mais c’est nettement insuffisant pour tous les besoins d’énergie du Québec, qu’ils soient thermiques ou électriques. Le reste du gaz dit naturel provient de la fracturation hydraulique. Donc, la très vaste majorité du gaz « naturel » d’Énergir est un carburant fossile dont l’empreinte totale est pire que celle du charbon. Alors, il faut prendre la publicité d’Énergir avec des pincettes, [6] car, dans ce dossier et dans le cadre des changements climatiques, l’objectif est de gérer les boues et les lisiers sans oublier la qualité de l’eau de la Yamaska. La biométhanisation ne doit jamais être un remède qui soit pire que la pollution originale!

En recherche et développement, il est normal qu’une nouvelle technologie ait besoin d’une période de rodage avant d’être complètement à point. Dans une lettre ouverte en date du 13 juin, le maire de Saint-Hyacinthe, M. Beauregard, affirmait que « la ville a décidé de s’attaquer à la situation afin de diminuer, voire d’enrayer, cette source de désagréments. » Le nez collectif des Maskoutains a bien hâte que ces améliorations deviennent réalité. Il en va de même pour les Saint-Piens!

Gérard Montpetit, Montérégie (09) secteur Richelieu-Yamaska (H) et membre du CCCPEM


1] https://www.ledevoir.com/environnement/788737/environnement-le-gaz-naturel-renouvelable-en-six-questions
2] https://www.journaldemontreal.com/2022/06/13/en-5-minutes–produire-du-gaz-renouvelable-grace-a-la-biomethanisation#cxrecs_s 
3] Liste des parutions dans Le Courrier de Saint-Hyacinthe depuis le 30 mai 2024 :
Le Courrier de Saint-Hyacinthe, édition du 30 mai 2024,
  1. a) page 9, article par Sarah-Eve Charland « Les mauvaises odeurs reviennent de façon intermittente»;
  2. b) page 10, éditorial par Martin Bourassa dont le titre est « Que nous cache-t-on? »
Le Courrier de Saint-Hyacinthe, édition du 13 juin 2024,
  1. a) page 11, Lettre ouverte du Maire « Des travaux essentiels pour une gestion durable des eaux»
Le Courrier de Saint-Hyacinthe, édition du 15 août 2024,
  1. a) page 15, article par Sarah-Eve Charland « Filière biométhanisation; revoir les attentes»;
  2. b) page 16, article par Sarah-Eve Charland « Plus de questions que de réponses»
Le Courrier de Saint-Hyacinthe, édition du 5 septembre 2024,
  1. a) page 10, éditorial par Martin Bourassa, dont le titre est « Le trop-plein»;
  2. b) page 11, Questions et réponses sur ce sujet par le maire de Saint-Hyacinthe, M. Beauregard, sous le titre « Le maire fait le point»;
  3. c) page 15, article d’Adaée Beaulieu dont le titre est « La ville de Saint-Hyacinthe interdit l’ajout de logements et de commerces dans ce secteur»
4]  https://www.lavoixdelest.ca/actualites/actualites-locales/2024/08/22/lusine-de-biomethanisation-de-saint-pie-encore-pointee-du-doigt-EHQ24334TNFDXDIXZFGV5GOALY/
5] https://www.ledevoir.com/economie/770944/energir-rate-la-cible-de-1-de-gnr
6] https://www.energir.com/fr/a-propos/nos-energies/gaz-naturel/gaz-naturel-renouvelable/

La présidente de l’AREQ, Micheline Germain, prend la parole!

Vous aimeriez voir (ou revoir) la prise de parole de Micheline Germain, présidente de l’AREQ, lors de la marche organisée pour le 1er octobre? Voici deux vidéos récapitulatives de l’événement.

Rappel :
Sous le thème « Agissons ensemble pour le mieux-être des aîné.e.s », plus de 500 personnes se sont rassemblées à Québec et 1000 à Montréal afin de participer à deux grandes marches soulignant la Journée internationale des personnes âgées le 1er octobre dernier. Cette journée visait à honorer les personnes aînées et les remercier pour leur contribution à la collectivité.

Le Quoi de neuf de l’automne est là… et il se transforme!

Depuis plus d’un an, l’AREQ travaille sur son image de marque. Nouveau nom, nouveau logo et nouvelle grille graphique.

Nous arrivons bientôt à la fin de l’implantation de cette image de marque et c’est maintenant au tour du magazine Quoi de neuf de faire peau neuve.

Comme vous pouvez le constater en parcourant la publication, nous vous proposons désormais un graphisme plus moderne et épuré, qui met de l’avant la sensibilité et l’expertise de l’AREQ. Que ce soit le choix des couleurs, des polices, des images ou du graphisme, rien n’est laissé au hasard.

En espérant que vous aimerez… bonne lecture!

19 novembre 2024 – Journée internationale des hommes

Cette année, le thème et l’affiche sont le fruit d’un processus de consultation ayant eu lieu dans le cadre de la dernière rencontre des responsables régionaux du dossier des hommes, en collaboration avec Catapulte communication.

Tous ensemble, tout simplement

Peu importe le bagage qui nous singularise ou notre genre, nous pouvons soutenir les différentes initiatives s’inscrivant au cours de cette journée. La santé et le bien-être des hommes transcendent la notion de genre.

Quant à elle, l’affiche illustre des hommes de différents âges et de diverses origines ethniques. Regroupés de profil, ils regardent vers un avenir moins sombre, tantôt parsemé de défis sur le plan de l’identité ou de la redéfinition de rôles sociaux, mais somme toute plus prometteur et marqué par la solidarité avec les femmes qui composent leur entourage.

Merci de contribuer au rayonnement de cette journée!

 

Mouvement pour la suite du monde : les membres de l’AREQ répondent à l’appel

Le 27 septembre dernier avait lieu la mobilisation provinciale s’inscrivant dans le cadre du Mouvement pour la suite du monde, duquel l’AREQ fait partie.

Partout au Québec, des gens, issus de la société civile, se sont regroupés pour exprimer leur ras-le-bol face aux décisions politiques. Ces dernières vont trop souvent à l’encontre des principes de transition sociale et environnementale. Que ce soit en marchant, en se faisant entendre grâce à des communiqués, des affiches originales, des slogans chantés ou en prenant part à diverses activités telles que la plantation de graines d’asclépiades, ils ont ensemble transmis un message clair au gouvernent du Québec; il est grand temps que ce dernier applique les solutions qui font consensus et qu’il agisse pour assurer aux générations futures un avenir viable.

Le Mouvement pour la suite du monde regroupe des organisations syndicales, environnementales, de santé, de l’économie, communautaires, étudiantes et des collectifs de citoyen·ne·s et d’élu·e·s autour d’une vision démocratique de la transition environnementale et sociale. À ce jour, ce mouvement rassemble une cinquantaine d’organisations qui représentent plus de deux millions de personnes au Québec.

Félicitations à tous les membres de l’AREQ qui militent pour la cause et qui ont pris part à cette grande mobilisation.

Assemblée annuelle du centre international de solidarité ouvrière (CISO)- 30 septembre 2024

Un retour en arrière de 50 ans

La coordonnatrice du CISO, Amélie Nguyen, annonçait à l’Assemblée générale que le CISO aurait bientôt 50 ans d’existence. J’ai participé à la fondation du CISO en 1975, qui a été créé par les centrales syndicales, dont la CEQ, et par des comités québécois de solidarité avec le tiers-monde.

C’était le temps de la lutte des ouvriers agricoles de la Californie et du Mexique. Le tiers-monde était en ébullition. On avait mis Mandela en prison en Afrique du Sud raciste. Au Chili, le président Salvador Allende avait été assassiné. Plusieurs mouvements syndicaux se battaient pour l’indépendance de leurs pays en Afrique ou au Moyen-Orient. Ce rappel est un peu court, mais vous avez le contexte.

L’Assemblée générale du 30 septembre

Cinquante ans plus tard, le CISO est toujours vivant. Il a survécu aux divisions syndicales et aux coupes dans les budgets gouvernementaux d’aide internationale.

À la réunion du 30 septembre, une cinquantaine de membres délégués de leurs centrales ou de leurs fédérations syndicales respectives et quelques membres individuels militants de la première heure étaient présents.

Avec un tout petit budget adopté le 30 (un peu plus de 300 000 $), le CISO reste dynamique. Il a l’appui de ses militants et de ses bénévoles. Les contributions des syndicats et quelques modestes subventions gouvernementales des ministères à vocation internationale permettent au CISO de maintenir ses trois domaines d’activités. 

Micheline Jourdain, membre individuelle du CISO et représentante de l’AREQ au CISO

L’éducation à la solidarité internationale au sein d’activités de formation, de journées d’étude et de stages sur le terrain. Des campagnes de solidarité pour des travailleurs du Sud, actuellement pour des travailleurs mexicains œuvrant dans la récupération des déchets notamment. De jeunes syndicalistes québécois vont aussi rencontrer prochainement des syndicats colombiens. Présence internationale essentielle dans un pays où être syndiqué est un facteur de risque élevé. Présence aussi pour témoigner des conditions de vie difficiles des travailleuses et des travailleurs colombiens. Il faut noter la présence de compagnies minières canadiennes dans ce pays.

Les travailleuses et travailleurs du textile et des vêtements du Bangladesh font aussi l’objet de campagnes d’appui.

Enfin, le CISO continue son plaidoyer auprès des instances gouvernementales concernant l’aide humanitaire.

Le CISO est administré par un conseil composé de 15 membres provenant des divers syndicats et de groupes communautaires. Six postes étaient en élection le 30 septembre.

Si le monde ouvrier et le tiers-monde ont beaucoup changé en 50 ans, la solidarité internationale demeure essentielle.

À surveiller dans les prochains mois, la campagne de financement pour célébrer les 50 ans du CISO en 2025.

Micheline Jourdain
Membre individuelle du CISO et représentante de l’AREQ au CISO

Connaissez-vous Laure Gaudreault?

« Figure peu connue dans l’histoire de la Belle Province, la syndicaliste s’est battue toute sa vie pour l’amélioration des conditions de travail des institutrices en milieu rural, et elle laisse un héritage très important. » Cette citation est tirée de la présentation faite de Laure Gaudreault à l’émission Aujourd’hui l’histoire, présentée à la radio de Radio-Canada.

En fouillant dans nos archives, nous avons retrouvé cet épisode datant de 2019. Vous l’avez manqué ou souhaitez l’entendre à nouveau? Un beau rappel du parcours impressionnant de celle à l’origine de la fondation de notre centrale, nommée maintenant Centrale des syndicats du Québec!

Écouter ici :

https://ici.radio-canada.ca/ohdio/premiere/emissions/aujourd-hui-l-histoire/segments/chronique/116797/enseignement-institutrices-quebec-histoire-laure-gaudreault-syndicalisme-pionniere

Pour faire un don à la Fondation Laure-Gaudreault : fondationlg.org

Octobre, mois de la sensibilisation au cancer du sein

En ce mois d’octobre dédié à la sensibilisation au cancer du sein, les membres du comité des femmes de l’AREQ (CSQ) rappellent à ses membres l’importance de la prévention.

En effet, depuis 1986, le taux de mortalité au Canada a chuté d’environ 46 %. C’est principalement grâce aux mammographies systématiques pour les femmes de 50 ans et plus instaurées au Québec en 1998.

Selon les données les plus récentes sur le cancer du sein :

  • Une femme sur huit développera un cancer du sein au cours de sa vie, et une femme sur 36 en mourra;
  • Plus de 8 045 Québécoises reçoivent un diagnostic de cancer du sein chaque année;
  • Près de 1 400 personnes perdent la vie à cause de cette maladie annuellement;
  • Les mammographies détectent environ 80 % des cancers du sein chez les femmes de 50 à 74 ans;
  • Le cancer du sein demeure la première cause de décès chez les 30-49 ans.

L’AREQ participe au réseau de l’action féministe de la CSQ

Les 3 et 4 octobre dernier, la première rencontre de l’année du réseau de l’action féministe de la CSQ a eu lieu sous le thème La confiance dans nos instances.

Comme à son habitude, l’AREQ était bien représentée à cet évènement par la présence de Brigitte Roy, secrétaire du conseil exécutif et responsable du dossier des femmes, et celle de Pierrette Bouchard, membre du comité national des femmes. Elles étaient accompagnées par Maude Tweddell, conseillère responsable du dossier des femmes.

Elles ont notamment eu la chance d’assister à des présentations sur la conjoncture politique et économique et de participer à un atelier très enrichissant où elles ont discuté des orientations du réseau d’action féministe de la CSQ pour les prochaines années.

Par leur contribution à ces importantes discussions, les représentantes présentes ont pu porter la voix des membres de l’AREQ et s’assurer de leur représentativité dans les actions qui seront prises par la Centrale dans le futur.

Journée internationale des personnes aînées – grand succès des marches « Agissons ensemble pour le mieux-être des aîné.e.s », tenues simultanément à Montréal et à Québec

Sous le thème « Agissons ensemble pour le mieux-être des aîné.e.s », plus de 500 personnes se sont rassemblées à Québec et 1000 à Montréal afin de participer à deux grandes marches soulignant la Journée internationale des personnes âgées le 1er octobre dernier.

Micheline Germain, présidente de l’AREQ (CSQ) lors de son discours à la marche de Québec.

Cette journée vise à honorer les aîné.e.s et les remercier pour leur contribution à la collectivité. Mais pour nous, à l’AREQ, c’est aussi l’occasion de clamer haut et fort le droit que nous avons gagné de vieillir dans la dignité.

Pour porter notre message, l’AREQ (CSQ) a présenté fièrement l’activité de Québec. Cet événement, qui revenait pour une quatrième édition cette année, était organisé par le Mouvement HABITATS et présenté en collaboration avec l’organisme Un et un font mille et la Fondation AGES.

En plus de rassembler des centaines de marcheurs, les journalistes de tous les médias ont couvert l’événement, de LCN à RDI, en passant par les Coops de l’Information et Salut Bonjour!

 

Pas de ralentissement pour Liratoutâge!

Comme vous le savez peut-être, nous entrons dans la dernière étape de l’implantation du projet Liratoutâge, et ce, partout au Québec!… Alors pas question de ralentir le rythme!

D’ailleurs, nos rangs s’accroissent de jour en jour. Ce sont maintenant plus de 2 150 personnes âgées fragilisées à travers le Québec qui profitent de séances de lectures hebdomadaires grâce au dévouement extraordinaire de nos 270 bénévoles, dont plusieurs sont membres de l’AREQ.

Aussi, cet automne, plusieurs nouvelles initiatives se mettent en branle comme les lectures dans les bibliothèques municipales à Québec, la lecture intergénérationnelle supervisée par une bénévole dans une résidence de Joliette, de nouveaux groupes de bénévoles qui s’organisent à Sainte-Anne-des-Monts et à Magog entre autres.

Si vous souhaitez adhérer au rang de nos bénévoles-lecteurs ou encore pour obtenir plus d’informations sur l’organisme, visitez le liratoutage.com ou écrivez-nous à liratoutage@areq.lacsq.org.

Balado de la CSQ – Prendre les devants – Entrevue avec le ministre de l’Éducation, Bernard Drainville

Faut-il s’inquiéter d’éventuelles coupes en éducation? Voilà l’un des nombreux sujets abordés avec le ministre de l’Éducation, Bernard Drainville, dans le cadre du balado Prendre les devants, animé par le président de la CSQ, Éric Gingras.

Entrevue avec le ministre de l’Éducation, Bernard Drainville – Centrale des syndicats du Québec (CSQ) (lacsq.org).

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