À compter du 18 mars, les pharmaciens peuvent évaluer la condition physique et mentale d’une personne dans le but d’assurer l’usage approprié de médicaments, effectuer un prélèvement en introduisant un instrument dans le pharynx ou prescrire un médicament en vente libre lorsque la situation clinique ou toute autre circonstance le justifient.
Ils peuvent aussi administrer un médicament aux fins de la vaccination ou lors d’une situation d’urgence et prescrire un médicament lors de la vaccination.
Avec le projet de loi 31, l’ajout de certains services cliniques ainsi que l’assouplissement de certaines conditions dans l’exercice de la profession de pharmacien accroîtront la capacité de quelque 2 000 points de services que représentent les pharmacies communautaires en première ligne de soins.
Dans le contexte actuel de la pandémie COVID-19, il est également pertinent de permettre aux pharmaciens d’avoir de nouveaux moyens et une plus grande autonomie dans leur offre de soins et de services à la population.