Une membre de l’AREQ honorée lors de la remise des prix Hommages Aînés 2023

Encore une fois cette année, une membre de l’AREQ a été honorée lors de la remise des prix Hommages Aînés 2023, tenue à l’Assemblée nationale. Il s’agit de madame Claire Buteau, de Saint-Henri (Lévis), qui est récipiendaire du prix pour la région Chaudière-Appalaches.

Claire Buteau est bien connue à l’AREQ. Elle a siégé au conseil sectoriel de l‘AREQ Louis-Fréchette durant de nombreuses années, notamment comme présidente et vice-présidente sectorielle. Au fil des ans, elle a organisé des activités nombreuses et variées dans son secteur. Son engagement social est digne de mention et une source d’inspiration pour les membres de notre association.

Lors d’une cérémonie officielle tenue à l’Assemblée nationale, le 7 novembre dernier, madame Buteau a reçu son prix des mains de la ministre responsable des Aînés, Sonia Bélanger. Elle a également reçu les félicitations de la présidente de l’AREQ, Micheline Germain (photo ci-contre).

Le Prix Hommages Aînés

Rappelons que le Prix Hommages Aînés du gouvernement du Québec vise à souligner l’apport d’une personne aînée œuvrant bénévolement dans sa région pour favoriser le mieux-être des personnes aînées ainsi que leur participation accrue à la société.

Les candidatures régionales pour ce prix sont recueillies par chacune des 18 tables régionales de concertation des aînés (TRCA), puis analysées par un comité de sélection indépendant. La candidature d’une personne par région est ensuite recommandée par chaque TRCA au ministre responsable pour la remise de ce prix.

La personne aînée engagée dans son milieu laisse une empreinte positive à travers le temps. La réussite, l’innovation, l’énergie et l’honneur sont les qualificatifs évoqués et transmis par le visuel du Prix Hommages Aînés.

Campagne 2023 du Comité 12 jours contre la violence faite aux femmes : précarité genrée, violences ignorées

La campagne 2023 du Comité 12 jours contre la violence faite aux femmes porte sur la précarité et la pauvreté, qui sont « des formes de violences extrêmes qui sont trop peu souvent reconnues et dénoncées. En 2023, alors que le coût de la vie atteint des sommets et que les salaires peinent à suivre l’inflation, il est plus que temps de se questionner sur ce que nous acceptons en tant que société ».

Pour le Comité, il est impératif de reconnaître et de remettre en question les normes inacceptables que nous tolérons depuis bien trop longtemps :

  • Nous acceptons que des humains aient à choisir entre se nourrir ou se loger.
  • Nous acceptons que les femmes soient moins bien rémunérées et que les produits qui leur sont essentiels coûtent plus cher.
  • Nous acceptons que les travailleuses et travailleurs de la fonction publique soient exploités. Le dévouement de ces personnes qui assurent la continuité de nos services publics devrait être récompensé, mais trop souvent, elles sont sous-payées, surchargées de travail et confrontées à des conditions de travail déplorables.
  • Nous acceptons que les personnes qui ont des casiers judiciaires soient systématiquement discriminées en emploi.
  • Nous acceptons que l’accès à des services éducatifs à l’enfance soit difficile et que les parents s’appauvrissent.
  • Nous acceptons que des personnes aînées doivent vivre dans des conditions de misère extrême et de maltraitance financière.
  • Nous acceptons que des victimes de violence conjugale ne puissent pas sortir de relations violentes par manque de moyens.
  • Nous acceptons que les personnes trans et non binaires doivent vivre dans un climat de violence et de stigmatisation constant qui les marginalise et engendre de multiples discriminations à l’emploi.
  • Nous acceptons que plus de la moitié des Québécoises aient un salaire annuel inférieur à 30 000 $ et que nos représentantes et représentants à l’Assemblée nationale s’offrent une augmentation salariale de ce montant.
  • Nous acceptons que les peuples autochtones soient toujours considérés comme des mineurs incapables de gérer leur argent.
  • Nous acceptons que des milliers de femmes sans statut soient maintenues dans des conditions de précarité extrême.

À propos

Coordonné par la Fédération des femmes du Québec (FFQ), le Comité 12 jours contre la violence faite aux femmes représente une coalition novatrice au Québec, rassemblant une quinzaine d’organisations féministes, dont la Centrale des syndicats du Québec (CSQ). Depuis 2008, le Comité 12 jours mène une campagne annuelle du 25 novembre au 6 décembre visant l’élimination des violences genrées.

PL15 – L’AREQ interpelle le premier ministre sur la réforme du ministre de la Santé

Dans une lettre officielle de l’AREQ adressée au premier ministre du Québec, la présidente de l’AREQ interpelle le premier ministre afin de faire marche arrière sur le projet de loi n° 15, Loi visant à rendre le système de santé et de services sociaux plus efficace qui vient chambouler plusieurs pans du réseau de la santé et des services sociaux québécois. Ainsi, l’AREQ s’oppose à l’hypercentralisation, à la perte de démocratie, à l’opacité à venir dans la gestion du réseau ainsi qu’à la privatisation accrue de notre système de santé.

L’AREQ appuie notamment son analyse sur les données probantes amenées par la plus récente étude dans le dossier. En effet, l’Institut de recherche et d’informations socioéconomiques (IRIS) a récemment fait la démonstration de l’inefficacité d’une telle réforme en imposant une structure extrêmement lourde, complexe, centralisée, et ingérable.

La privatisation ne rime pas avec accessibilité

Le détournement des patients vers les soins privés ne soulage pas le réseau public, il est plutôt à la source des problèmes d’accessibilité. Les travailleurs de la santé ne poussent pas dans les arbres, chaque travailleur au privé est un travailleur perdu pour le réseau public. Et les soins dans le marché privé ne visent pas à répondre aux besoins populationnels, à prévenir la maladie, mais bien à maximiser le profit en augmentant le volume d’interventions réalisées trop souvent pour les cas les moins urgents ou complexes.

Soulignons l’expérience de la Colombie-Britannique qui a essayé d’emprunter la voie risquée du recours accru au privé en santé depuis quelques années. Comme pour d’autres pays dans le monde qui ont choisi ce modèle, cette voie s’est avérée être un cul-de-sac. En effet, les soins de santé privés ont engendré des coûts additionnels pour les patients et pour la province, sans pour autant aider à y régler les problèmes d’accès. Depuis quelque temps, le gouvernement de la Colombie-Britannique semble d’ailleurs avoir partiellement appris de ses erreurs et vouloir emprunter le chemin plus viable d’un renforcement des capacités publiques.

Enfin, rappelons que le mois dernier, l’AREQ avait joint sa voix à plus de 250 autres organisations québécoises de tous horizons (médical, communautaire, syndical, coopératif) pour dénoncer l’absence évidente de consensus autour de ce projet de loi.

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Il y aura une indexation additionnelle au RREGOP en 2024

En plus de l’indexation régulière, une indexation additionnelle sera versée pour les années cotisées entre 1982 et 1999.

Le TAIR en 2024 

Retraite Québec vient d’annoncer le taux d’indexation qui s’appliquera au montant de la rente du régime de rentes du Québec (RRQ) à compter du 1er janvier 2024 : ce taux est de 4,4 %. Il a été déterminé en fonction de l’indice des prix à la consommation (IPC) de Statistique Canada pour chaque mois compris entre novembre 2022 et octobre 2023. On l’appelle aussi le taux d’augmentation de l’indice des rentes (TAIR).

Indexation régulière de la rente du RREGOP en janvier 2024

C’est ce taux de 4,4 % qui est utilisé pour le calcul du taux d’indexation des rentes des régimes de retraite des secteurs publics administrés par Retraite Québec, tels que le RREGOP, le RRE, le RRF et le RRCE. Cela s’applique également sur la rente de la personne conjointe survivante.

Rappelons que trois formules sont utilisées pour le calcul de l’indexation de la rente des personnes retraitées du secteur public, en fonction des années durant lesquelles elles ont cotisé au régime. Il est possible que plus d’une formule soit utilisée pour calculer l’indexation de la rente d’une personne, si celle-ci a versé des cotisations correspondant à plus d’une période.

Indexation régulière de la rente du RREGOP en janvier 2024

Années cotisées avant le 1er juillet 1982 :

Portion de la rente indexée à 100 % du TAIR

4,4 %

(soit le TAIR)

Années cotisées entre le 1er juillet 1982 et le 31 décembre 1999 :

Portion de la rente indexée selon le TAIR – 3 %

1,4 %

(soit le TAIR-3 %)

Années cotisées depuis le 1er janvier 2000 :

Portion de la rente indexée selon la plus avantageuse des
2 formules : 50 % du TAIR ou TAIR – 3 %

2,2 %

(soit 50 % du TAIR, la plus avantageuse des 2 formules)

 Indexation additionnelle pour les années cotisées entre 1982 et 1999

Pour la première fois au RREGOP, une indexation dite « additionnelle » sera versée en 2024. Cette indexation additionnelle est rendue possible en raison des surplus constatés dans la plus récente mise à jour de l’évaluation actuarielle du RREGOP. En effet, cette mise à jour publiée en octobre dernier a révélé un taux de capitalisation de 123,1 %, ce qui correspond à l’une des conditions pour le versement additionnel d’une indexation en 2024, à même des surplus de la caisse des personnes participantes.  Ce montant s’ajoutera à l’indexation régulière prévue pour la période 1982 à 1999.

Bref rappel

Rappelons qu’une entente est survenue en 2010 entre le gouvernement et les parties négociantes, notamment la CSQ, sur le financement du RREGOP (politique de financement). Dans la foulée de cette entente, l’article 77 de la Loi sur le RREGOP a été modifié pour permettre une bonification de l’indexation à même les surplus de la caisse des participants quand ceux-ci dépassent 120 %.

En quoi consiste l’indexation additionnelle et quel effet cela aura-t-il sur la rente du RREGOP?

Quoi? Une indexation ponctuelle (non récurrente) des rentes en paiement, qu’on appelle aujourd’hui une indexation additionnelle.

Sur quoi? Sur la rente correspondant aux années cotisées entre le 1er juillet 1982 et le 31 décembre 1999, mais sur la moitié de la rente seulement (celle à la charge de la caisse des personnes participantes).

Combien? L’indexation additionnelle correspond à l’écart entre l’indexation des années cotisées après 2000 et celle des années cotisées entre 1982 et 1999 soit 0,8 %
(2,2 % – 1,4 % = 0,8 %). Ce 0,8 % s’ajoutera à l’indexation régulière de 1,4 % pour cette portion de rente.

Quand? Autour du mois d’août 2024.

Comment? L’ajustement sera fait automatiquement sur la rente et sera rétroactif au 1er janvier 2024.

Il est à noter que l’indexation additionnelle sera versée pour le RREGOP. Cependant, en ce qui concerne le RRE, RRF et le RRCE, cette indexation additionnelle sera versée uniquement si le gouvernement décide de verser sa part de l’indexation.

La part du gouvernement

Mentionnons que lors de l’entente de 2010, le gouvernement n’a pas souscrit au même engagement visant à indexer de façon ponctuelle la rente à sa charge dans la situation d’un taux de capitalisation au-dessus de 120 %. En d’autres termes, il n’y a pas d’engagement formel du gouvernement à l’effet d’indexer sa part de la rente dans une telle situation. L’article 77.0.2 de la Loi sur le RREGOP permettrait au gouvernement d’indexer la rente à sa charge à son bon vouloir. Il a jusqu’au 1er juillet 2024 pour décider s’il verse sa part de l’indexation additionnelle ou non.

L’AREQ revendique depuis près de 13 ans que le gouvernement mette sa part. Plus que jamais, des pressions seront exercées par l’Association pour que le gouvernement s’engage à verser sa part d’indexation. Nous vous en tiendrons informés.

Indexation des années 1982 à 1999

Pour plus d’information au sujet de l’indexation au RREGOP prévue en 2024, nous vous invitons à vous inscrire au webinaire gratuit organisé par l’AREQ qui se tiendra le 5 décembre prochain.

Webinaire gratuit : l’indexation en 2024

Pour la première fois au RREGOP, une indexation dite « additionnelle » sera versée en 2024 pour les années cotisées entre 1982 et 1999.

Johanne Freire, conseillère à l’AREQ, présentera le contexte particulier de l’indexation en 2024 sous la forme d’un webinaire gratuit d’une durée d’une heure. Une période de questions est prévue à la fin de la présentation.

Les inscriptions sont limitées.

La maltraitance, parlons-en avec Jean-Sébastien Girard et sa mère, Monique-Andrée Michaud

Chaque soir, Jean-Sébastien Girard se rend chez sa voisine, sa mère, pour papoter, le temps d’une sucrerie et d’un bon verre de lait. Cette fois-ci, ils parlent d’un sujet beaucoup moins rose qu’une petite menthe : la maltraitance chez les personnes aînées et les personnes en situation de vulnérabilité.

À travers quatre capsules réalisées par le gouvernement du Québec, ils décortiquent la problématique sous différentes formes :

Environnement : un soutien de l’AREQ qui fait la différence

Dans le cadre des festivités entourant les 30 ans du Mouvement ACTES (CSQ), anciennement les Établissements verts Brundtland, l’AREQ a organisé un concours permettant à des élèves et étudiants de partout au Québec de soumettre une idée de projet qu’ils pourraient réaliser avec une bourse de 500 $. Le projet devait être ancré dans une ou plusieurs des valeurs défendues par le Mouvement ACTES et par l’AREQ, c’est-à-dire l’écologie, le pacifisme, la démocratie et la solidarité.

Jonathan Lévesque, technicien en loisirs et éducateur spécialisé, accompagné d’un groupe d’élèves de l’École secondaire Saint-Paul-de-Montminy engagés dans un comité environnement, se sont vus offrir cette bourse pour concrétiser leur projet. Concrètement, ces derniers souhaitaient procéder à l’achat d’un ilot de tri permettant d’effectuer la collecte des déchets dans l’établissement de façon responsable depuis plusieurs années. Grâce au soutien de l’AREQ, leur souhait a pu être réalisé.

L’AREQ participe aux journées des partenaires pour contrer la maltraitance envers les personnes aînées

La présidente de l’AREQ, Micheline Germain, a participé aux Journées des partenaires pour contrer la maltraitance envers les personnes aînées 2023, les 14 et 15 novembre dernier à Québec. Ces journées se sont déroulées cette année sous le thème : « La lutte pour contrer la maltraitance et la promotion de la bientraitance, c’est l’affaire de tous. ».

Elles ont pour objectif de :

  • mobiliser les partenaires, gouvernementaux ou non, qui œuvrent à contrer la maltraitance envers les personnes aînées, notamment autour de la bonification de la Loi visant à lutter contre la maltraitance envers les aînés et toute autre personne majeure en situation de vulnérabilité;
  • diffuser de nouvelles connaissances;
  • partager les meilleures pratiques et de faire la promotion de pratiques innovantes en matière de bientraitance et de lutte contre la maltraitance.

Lors de la première journée, madame Germain a pu essayer la réalité virtuelle pour lutter contre la maltraitance chez les aînés, un projet des Ateliers 360fort intéressant, soutenu par la Fondation Jasmin Roy Sophie Desmarais et développé en collaboration avec la Chaire de recherche sur la maltraitance envers les personnes aînées de l’Université de Sherbrooke.

La deuxième journée portait principalement sur la maltraitance matérielle et financière. Rappelons que plusieurs partenaires, dont l’Autorité des marchés financiers, qui collabore régulièrement avec l’AREQ, peuvent aider les personnes qui en sont victimes.

 

Ligne Aide Maltraitance Adultes Aînés 

Notons que la principale ligne téléphonique provinciale d’écoute, de référence et d’accompagnement spécialisée en matière de maltraitance envers les aînés et les adultes en situation de vulnérabilité a pris de l’ampleur et se nomme désormais la Ligne Aide Maltraitance Adultes Aînés (anciennement Ligne Aide Abus Aînés).

Un nouveau site Internet a d’ailleurs été mis en ligne pour faciliter le parcours des personnes victimes de maltraitance ou les proches et témoins qui veulent signaler des cas de maltraitance.

Si vous êtes témoin d’une situation ou si vous croyez être dans une situation de maltraitance, communiquez au 1 888 489-2287 (sans frais), 7 jours sur 7 entre 8 h et 20 h.

 

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Six remèdes pour révolutionner le système de santé au Québec : un plan de l’IRIS en collaboration avec l’AREQ

L’AREQ est fière d’avoir collaborer aux travaux ayant mené au plan de l’Institut de recherche et d’informations socioéconomiques proposant Six remèdes pour révolutionner le système de santé au Québec, rendu public le 13 novembre dernier.

Depuis la publication du plan Dubé en mars 2022, l’IRIS fait la démonstration que la réforme du système de santé et de services sociaux, actuellement entreprise par le gouvernement, ne fait que reproduire les erreurs du passé et qu’elle est vouée à l’échec.

C’est pourquoi l’IRIS propose une solution concurrente à l’approche contenue dans le plan Dubé. Les six remèdes pour révolutionner le réseau de la santé et des services sociaux au Québec mettent de l’avant des solutions qui permettront d’atteindre une véritable efficacité du système de santé québécois.

Ce plan concret, présenté sommairement lors du dernier conseil national de l’AREQ, est disponible ici : https://iris-recherche.qc.ca/publications/six-remedes-pour-revolutionner/

Journée internationale des Bénévoles

Nous sommes heureux de vous inviter à la 38e édition de la Journée internationale des Bénévoles, le 5 décembre 2023. C’est sous le thème : « ENSEMBLE, faire une vraie différence » que nous lançons cette campagne.  Cette journée est l’occasion parfaite de célébrer le travail inestimable des bénévoles dévoués et de leur dire merci.

Pour rendre cette journée mémorable, nous avons préparé une activité virtuelle exceptionnelle : Le Quêteux, un conte de Patrick Dubois. Une histoire inspirante où il sera question du pouvoir du bénévolat que vous ne voudrez pas manquer!

Joignez-vous à nous pour cette célébration virtuelle.

Voici les détails de l’événement :

 

Votre régime d’assurance de groupe auto et habitation a généré des surplus!

Le saviez-vous? En 2023, près de 5,5 M$ seront partagés en ristournes entre les participants du régime d’assurance de groupe auto et habitation de la CSQ.

Vous pourriez vous aussi bénéficier de cet avantage en changeant pour La Personnelle!

Une ristourne de 30$ par police d’assurance auto ou habitation sera versée à tous les nouveaux membres assurés en 20231.

Obtenez une soumission dès aujourd’hui : csq.lapersonnelle.com

La Personnelle désigne La Personnelle, assurances générales inc. La marque La Personnelle MD ainsi que les marques de commerce associées sont des marques de commerce de La Personnelle, compagnie d’assurances, employées sous licence. Certaines conditions, exclusions et limitations peuvent s’appliquer.

  1. Une ristourne de 50 $ sera versée en mars 2023 aux assurés qui détiennent un contrat d’assurance auto ou habitation en vigueur au 1er janvier 2023. Pour les assurés qui détiendront un contrat d’assurance auto ou habitation en vigueur entre le 2 janvier et le 31 décembre 2023, une ristourne de 30 $ par police sera versée, soit au mois de mai, septembre ou novembre 2023, ou encore, en février 2024. La ristourne sera versée, conformément au mode de paiement du client, pour chaque police d’assurance auto ou habitation admissible.
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