Le Conseil des ministres a procédé à la nomination au conseil d’administration de la Commission des normes, de l’équité, de la santé et de la sécurité du travail (CNESST) d’Éric Gingras, président de la CSQ. Après une absence de plus de 40 ans au sein de cette organisation, les efforts déployés depuis plusieurs années et par plusieurs personnes ont enfin porté fruit.
Cette nomination confirme la place importante qu’occupe la CSQ dans le domaine de la santé et de la sécurité des travailleuses et des travailleurs du Québec, de l’équité salariale ainsi que des conditions minimales de travail des personnes non syndiquées.
Pour l’Équipe SST, la nomination d’Éric Gingras est une motivation supplémentaire pour offrir un service de qualité en matière de santé et de sécurité du travail pour l’ensemble des membres de la CSQ.
Plusieurs membres de l’AREQ (CSQ) sont préoccupés par les impacts des écrans et des réseaux sociaux chez les jeunes.
Si c’est votre cas, nous vous invitons à participer à cette consultation en ligne de la Commission spéciale sur les impacts des écrans et des réseaux sociaux sur la santé et le développement des jeunes.
Dans un an, au mois d’octobre 2025, ce sera la fin du support de Windows 10 par Microsoft. Votre ordinateur fait partie des deux tiers qui fonctionnent encore sur cette plateforme?
Francois Charron, chroniqueur du magazine Quoi de neuf de l’AREQ, a préparé un dossier pour vous accompagner facilement et gratuitement :
vérifier si votre PC peut passer à Windows 11;
donner une 2e vie à votre ordinateur s’il ne peut pas être mis à jour;
Tous nos conseils ont été créés afin qu’une personne avec peu de connaissances informatiques soit capable d’effectuer elle-même les actions.
Venez tester votre ordinateur et laissez-nous vous aider à le faire fonctionner en toute sécurité pendant encore plusieurs années.
Félicitations à France Bouchard, du Syndicat de l’enseignement de la région de la Mitis, qui a gagné, le 12 juin dernier, un des deux chèques de 1 500 $ offert par La Personnelle dans le cadre du concours « Complice de vos loisirs » exclusif aux membres de la CSQ. Le prochain tirage aura lieu le 12 décembre 2024. Demandez une soumission d’assurance auto ou habitation et tentez la chance de gagner le deuxième chèque de 1 500 $!
Le dossier de la proche aidance est une priorité pour l’AREQ (CSQ). En effet, près du quart des membres se définissent comme des personnes proches aidantes, soit près de 15 000 personnes, selon nos plus récents sondages internes. C’est pourquoi l’AREQ vous invite à participer à cette enquête sur la santé des personnes proches aidantes au Québec, menée par l’Université de Montréal en collaboration avec le gouvernement du Québec.
Quel est l’objectif ?
Cette enquête a pour objectif d’évaluer l’état de santé des personnes proches aidantes âgées de 50 ans et plus au Québec.
Qui peut y participer ?
Il faut être une personne proche aidante.
Être une personne âgée de 50 ans ou plus.
Résider au Québec.
Ne pas vivre en Centre d’Hébergement et de Soins de Longue Durée (CHSLD) ou en secteur médicalisé d’une Résidence Pour Aînés.
Ne pas participer à une étude interventionnelle concomitante (étude impliquant la prise de médicaments ou une intervention thérapeutique, etc.).
Comment y participer ?
L’étude consiste à remplir un questionnaire en ligne à partir de votre cellulaire, ordinateur ou tablette. La durée de remplissage du questionnaire est d’environ 15 minutes. Ce questionnaire se remplit en une seule fois. Lorsque vous commencez à remplir le questionnaire, il ne vous sera pas possible d’arrêter et de le reprendre là où vous l’avez laissé.
Vous devez lire et accepter le formulaire d’information et de consentement pour participer à cette recherche.
Quel bénéfice personnel aurez-vous en remplissant le questionnaire de cette enquête ?
Vous pourrez obtenir une évaluation de votre état de santé que vous pourrez garder et, au besoin, transmettre à votre médecin.
« Je roule au gaz naturel produit ici ». C’est le slogan qu’on peut lire sur les portières des véhicules de la ville de Saint-Hyacinthe. Nous avons applaudi la mise en marche de cette usine de biométhanisation voilà déjà quelques années. La production de biogaz, parfois appelé « gaz naturel renouvelable » (GNR) est une façon de retirer le méthane des matières putrescibles et de le réutiliser à la place du gaz fossile dit naturel. Cela fait partie du « cycle court » du carbone. Le résidu (appelé digestat) peut devenir un engrais utile.[1] D’un point de vue climatique, il vaut donc mieux brûler le méthane que le laisser filer vers le ciel. Donc, en théorie, récupérer le méthane qui serait éventuellement rejeté dans l’atmosphère et gérer utilement les boues de l’usine d’épuration sont de très bonnes idées.
À l’usage, on découvre quelques pépins. Le procédé de biométhanisation se fait dans un biodigesteur, sorte « d’estomac » géant où des millions de milliards de bactéries digèrent la matière organique. Normalement, ça va bien. Cependant, il arrive que les bactéries aient une « indigestion ».[2] Comme pour un être humain qui a une indigestion, l’entourage doit subir des odeurs et des rejets peu ragoûtants qui sont l’antonyme du bon goût. Dans un tel cas, nous sommes tentés de dire au malotru : « Va péter ailleurs! »
L’utilisation des boues d’épuration dans une usine de biométhanisation est une bonne idée, mais parfois, elle dérange. Depuis le 30 mai, quatre articles, deux éditoriaux et deux lettres ouvertes du maire de Saint-Hyacinthe se sont retrouvés dans Le Courrier de Saint-Hyacinthe pour faire état de ces problèmes. Comme dommages collatéraux, les odeurs intermittentes obligent la ville à geler le développement immobilier dans ce secteur pour trois ans, sans oublier une poursuite judiciaire contre la ville par le groupe immobilier Robin.[3] Voilà quelques exemples concrets des désagréments que la biométhanisation peut faire subir au voisinage lorsqu’il y a des dérapages de ce procédé. En terre maskoutaine, nous avons présentement deux de ces usines qui sont en activité : celle de la ville sur la rue Girouard, et CTBM à Saint-Pie. On peut également penser à un projet de traitement du lisier que la Coop de Saint-Jean-Baptiste prévoit implanter à Saint-Damase.
Dans le cas de Saint-Pie, ce sont parfois des rejets d’une eau de couleur douteuse dans le ruisseau des Glaises qui posent problème.[4] Pour respecter la qualité de l’eau qui sort de son usine, le Centre de traitement de la biomasse de la Montérégie (CTBM) expédie les résultats de trois inspections par année à un laboratoire mandaté. Comme la compagnie n’enverra jamais des échantillons lorsque les « bactéries sont en grève », ces tests sont peu utiles. Des citoyens riverains ont demandé que des inspections soient faites sans préavis par ce laboratoire. La compagnie s’y oppose. Pourtant, une usine de filtration ou de purification de l’eau d’une municipalité doit fournir des tests de la qualité de l’eau quotidiennement. Pourquoi CTBM aurait-elle la présomption de fournir seulement trois tests annuellement? Tout comme à Saint-Hyacinthe, c’est la qualité de l’eau du bassin versant de la Yamaska et les citoyens qui vivent à proximité de l’usine qui subissent les contrecoups lorsque « ça va mal »!
Si elle est bien faite, la biométhanisation peut être une bonne manière de gérer les boues d’épuration et certaines matières putrescibles. Mais cette technologie sera toujours une façon marginale de produire du méthane. N’en déplaise à la publicité quasi mensongère d’Énergir, cela ne représente qu’environ 1% de ce qui circule dans les tuyaux de la compagnie, même si on espère pouvoir augmenter ce ratio légèrement.[5] Bien sûr, cette production de méthane peut faire rouler la flotte de véhicules de Saint-Hyacinthe, mais c’est nettement insuffisant pour tous les besoins d’énergie du Québec, qu’ils soient thermiques ou électriques. Le reste du gaz dit naturel provient de la fracturation hydraulique. Donc, la très vaste majorité du gaz « naturel » d’Énergir est un carburant fossile dont l’empreinte totale est pire que celle du charbon. Alors, il faut prendre la publicité d’Énergir avec des pincettes, [6] car, dans ce dossier et dans le cadre des changements climatiques, l’objectif est de gérer les boues et les lisiers sans oublier la qualité de l’eau de la Yamaska. La biométhanisation ne doit jamais être un remède qui soit pire que la pollution originale!
En recherche et développement, il est normal qu’une nouvelle technologie ait besoin d’une période de rodage avant d’être complètement à point. Dans une lettre ouverte en date du 13 juin, le maire de Saint-Hyacinthe, M. Beauregard, affirmait que « la ville a décidé de s’attaquer à la situation afin de diminuer, voire d’enrayer, cette source de désagréments. » Le nez collectif des Maskoutains a bien hâte que ces améliorations deviennent réalité. Il en va de même pour les Saint-Piens!
Gérard Montpetit, Montérégie (09) secteur Richelieu-Yamaska (H) et membre du CCCPEM
Vous aimeriez voir (ou revoir) la prise de parole de Micheline Germain, présidente de l’AREQ, lors de la marche organisée pour le 1er octobre? Voici deux vidéos récapitulatives de l’événement.
Rappel :
Sous le thème « Agissons ensemble pour le mieux-être des aîné.e.s », plus de 500 personnes se sont rassemblées à Québec et 1000 à Montréal afin de participer à deux grandes marches soulignant la Journée internationale des personnes âgées le 1er octobre dernier. Cette journée visait à honorer les personnes aînées et les remercier pour leur contribution à la collectivité.
Depuis plus d’un an, l’AREQ travaille sur son image de marque. Nouveau nom, nouveau logo et nouvelle grille graphique.
Nous arrivons bientôt à la fin de l’implantation de cette image de marque et c’est maintenant au tour du magazine Quoi de neuf de faire peau neuve.
Comme vous pouvez le constater en parcourant la publication, nous vous proposons désormais un graphisme plus moderne et épuré, qui met de l’avant la sensibilité et l’expertise de l’AREQ. Que ce soit le choix des couleurs, des polices, des images ou du graphisme, rien n’est laissé au hasard.
Cette année, le thème et l’affiche sont le fruit d’un processus de consultation ayant eu lieu dans le cadre de la dernière rencontre des responsables régionaux du dossier des hommes, en collaboration avec Catapulte communication.
Tous ensemble, tout simplement
Peu importe le bagage qui nous singularise ou notre genre, nous pouvons soutenir les différentes initiatives s’inscrivant au cours de cette journée. La santé et le bien-être des hommes transcendent la notion de genre.
Quant à elle, l’affiche illustre des hommes de différents âges et de diverses origines ethniques. Regroupés de profil, ils regardent vers un avenir moins sombre, tantôt parsemé de défis sur le plan de l’identité ou de la redéfinition de rôles sociaux, mais somme toute plus prometteur et marqué par la solidarité avec les femmes qui composent leur entourage.
Merci de contribuer au rayonnement de cette journée!
Le 27 septembre dernier avait lieu la mobilisation provinciale s’inscrivant dans le cadre du Mouvement pour la suite du monde, duquel l’AREQ fait partie.
Partout au Québec, des gens, issus de la société civile, se sont regroupés pour exprimer leur ras-le-bol face aux décisions politiques. Ces dernières vont trop souvent à l’encontre des principes de transition sociale et environnementale. Que ce soit en marchant, en se faisant entendre grâce à des communiqués, des affiches originales, des slogans chantés ou en prenant part à diverses activités telles que la plantation de graines d’asclépiades, ils ont ensemble transmis un message clair au gouvernent du Québec; il est grand temps que ce dernier applique les solutions qui font consensus et qu’il agisse pour assurer aux générations futures un avenir viable.
Le Mouvement pour la suite du monde regroupe des organisations syndicales, environnementales, de santé, de l’économie, communautaires, étudiantes et des collectifs de citoyen·ne·s et d’élu·e·s autour d’une vision démocratique de la transition environnementale et sociale. À ce jour, ce mouvement rassemble une cinquantaine d’organisations qui représentent plus de deux millions de personnes au Québec.
Félicitations à tous les membres de l’AREQ qui militent pour la cause et qui ont pris part à cette grande mobilisation.
La coordonnatrice du CISO, Amélie Nguyen, annonçait à l’Assemblée générale que le CISO aurait bientôt 50 ans d’existence. J’ai participé à la fondation du CISO en 1975, qui a été créé par les centrales syndicales, dont la CEQ, et par des comités québécois de solidarité avec le tiers-monde.
C’était le temps de la lutte des ouvriers agricoles de la Californie et du Mexique. Le tiers-monde était en ébullition. On avait mis Mandela en prison en Afrique du Sud raciste. Au Chili, le président Salvador Allende avait été assassiné. Plusieurs mouvements syndicaux se battaient pour l’indépendance de leurs pays en Afrique ou au Moyen-Orient. Ce rappel est un peu court, mais vous avez le contexte.
L’Assemblée générale du 30 septembre
Cinquante ans plus tard, le CISO est toujours vivant. Il a survécu aux divisions syndicales et aux coupes dans les budgets gouvernementaux d’aide internationale.
À la réunion du 30 septembre, une cinquantaine de membres délégués de leurs centrales ou de leurs fédérations syndicales respectives et quelques membres individuels militants de la première heure étaient présents.
Avec un tout petit budget adopté le 30 (un peu plus de 300 000 $), le CISO reste dynamique. Il a l’appui de ses militants et de ses bénévoles. Les contributions des syndicats et quelques modestes subventions gouvernementales des ministères à vocation internationale permettent au CISO de maintenir ses trois domaines d’activités.
L’éducation à la solidarité internationale au sein d’activités de formation, de journées d’étude et de stages sur le terrain. Des campagnes de solidarité pour des travailleurs du Sud, actuellement pour des travailleurs mexicains œuvrant dans la récupération des déchets notamment. De jeunes syndicalistes québécois vont aussi rencontrer prochainement des syndicats colombiens. Présence internationale essentielle dans un pays où être syndiqué est un facteur de risque élevé. Présence aussi pour témoigner des conditions de vie difficiles des travailleuses et des travailleurs colombiens. Il faut noter la présence de compagnies minières canadiennes dans ce pays.
Les travailleuses et travailleurs du textile et des vêtements du Bangladesh font aussi l’objet de campagnes d’appui.
Enfin, le CISO continue son plaidoyer auprès des instances gouvernementales concernant l’aide humanitaire.
Le CISO est administré par un conseil composé de 15 membres provenant des divers syndicats et de groupes communautaires. Six postes étaient en élection le 30 septembre.
Si le monde ouvrier et le tiers-monde ont beaucoup changé en 50 ans, la solidarité internationale demeure essentielle.
À surveiller dans les prochains mois, la campagne de financement pour célébrer les 50 ans du CISO en 2025.
Micheline Jourdain
Membre individuelle du CISO et représentante de l’AREQ au CISO
« Figure peu connue dans l’histoire de la Belle Province, la syndicaliste s’est battue toute sa vie pour l’amélioration des conditions de travail des institutrices en milieu rural, et elle laisse un héritage très important. » Cette citation est tirée de la présentation faite de Laure Gaudreault à l’émission Aujourd’hui l’histoire, présentée à la radio de Radio-Canada.
En fouillant dans nos archives, nous avons retrouvé cet épisode datant de 2019. Vous l’avez manqué ou souhaitez l’entendre à nouveau? Un beau rappel du parcours impressionnant de celle à l’origine de la fondation de notre centrale, nommée maintenant Centrale des syndicats du Québec!
En ce mois d’octobre dédié à la sensibilisation au cancer du sein, les membres du comité des femmes de l’AREQ (CSQ) rappellent à ses membres l’importance de la prévention.
En effet, depuis 1986, le taux de mortalité au Canada a chuté d’environ 46 %. C’est principalement grâce aux mammographies systématiques pour les femmes de 50 ans et plus instaurées au Québec en 1998.
Selon les données les plus récentes sur le cancer du sein :
Une femme sur huit développera un cancer du sein au cours de sa vie, et une femme sur 36 en mourra;
Plus de 8 045 Québécoises reçoivent un diagnostic de cancer du sein chaque année;
Près de 1 400 personnes perdent la vie à cause de cette maladie annuellement;
Les mammographies détectent environ 80 % des cancers du sein chez les femmes de 50 à 74 ans;
Le cancer du sein demeure la première cause de décès chez les 30-49 ans.
Les 3 et 4 octobre dernier, la première rencontre de l’année du réseau de l’action féministe de la CSQ a eu lieu sous le thème La confiance dans nos instances.
Comme à son habitude, l’AREQ était bien représentée à cet évènement par la présence de Brigitte Roy, secrétaire du conseil exécutif et responsable du dossier des femmes, et celle de Pierrette Bouchard, membre du comité national des femmes. Elles étaient accompagnées par Maude Tweddell, conseillère responsable du dossier des femmes.
Elles ont notamment eu la chance d’assister à des présentations sur la conjoncture politique et économique et de participer à un atelier très enrichissant où elles ont discuté des orientations du réseau d’action féministe de la CSQ pour les prochaines années.
Par leur contribution à ces importantes discussions, les représentantes présentes ont pu porter la voix des membres de l’AREQ et s’assurer de leur représentativité dans les actions qui seront prises par la Centrale dans le futur.
Sous le thème « Agissons ensemble pour le mieux-être des aîné.e.s », plus de 500 personnes se sont rassemblées à Québec et 1000 à Montréal afin de participer à deux grandes marches soulignant la Journée internationale des personnes âgées le 1er octobre dernier.
Cette journée vise à honorer les aîné.e.s et les remercier pour leur contribution à la collectivité. Mais pour nous, à l’AREQ, c’est aussi l’occasion de clamer haut et fort le droit que nous avons gagné de vieillir dans la dignité.
Pour porter notre message, l’AREQ (CSQ) a présenté fièrement l’activité de Québec. Cet événement, qui revenait pour une quatrième édition cette année, était organisé par le Mouvement HABITATS et présenté en collaboration avec l’organisme Un et un font mille et la Fondation AGES.
En plus de rassembler des centaines de marcheurs, les journalistes de tous les médias ont couvert l’événement, de LCN à RDI, en passant par les Coops de l’Information et Salut Bonjour!
Comme vous le savez peut-être, nous entrons dans la dernière étape de l’implantation du projet Liratoutâge, et ce, partout au Québec!… Alors pas question de ralentir le rythme!
D’ailleurs, nos rangs s’accroissent de jour en jour. Ce sont maintenant plus de 2 150 personnes âgées fragilisées à travers le Québec qui profitent de séances de lectures hebdomadaires grâce au dévouement extraordinaire de nos 270 bénévoles, dont plusieurs sont membres de l’AREQ.
Aussi, cet automne, plusieurs nouvelles initiatives se mettent en branle comme les lectures dans les bibliothèques municipales à Québec, la lecture intergénérationnelle supervisée par une bénévole dans une résidence de Joliette, de nouveaux groupes de bénévoles qui s’organisent à Sainte-Anne-des-Monts et à Magog entre autres.
Si vous souhaitez adhérer au rang de nos bénévoles-lecteurs ou encore pour obtenir plus d’informations sur l’organisme, visitez le liratoutage.com ou écrivez-nous à liratoutage@areq.lacsq.org.
Faut-il s’inquiéter d’éventuelles coupes en éducation? Voilà l’un des nombreux sujets abordés avec le ministre de l’Éducation, Bernard Drainville, dans le cadre du balado Prendre les devants, animé par le président de la CSQ, Éric Gingras.
Pour souligner les 20 ans d’existence du RPCU, l’AREQ était invitée au congrès annuel du regroupement sous le thème « 20 ans au service des usagers pour la défense de droits », les 25 et 26 septembre dernier. La présidente de l’AREQ, Micheline Germain, était présente dans le but de mieux connaître les enjeux de cet organisme avec qui nous avons collaboré activement cette année afin d’amener la ministre responsable des Aînés à corriger le nouveau programme d’allocation personnalisée en résidences privées pour aînés.
Pour cette année, le grand défi du RPCU est de s’assurer que les usagers soient au cœur des décisions dans la foulée du projet de Loi 15, la réforme majeure du réseau de la santé proposée par le ministre Dubé. D’ailleurs, l’AREQ partage les mêmes inquiétudes quant à une forte centralisation des décisions dans le réseau de la Santé qui sera susceptible d’être déconnectée de la réalité et des besoins des usagers dans chaque région.
À propos du RPCU
La mission du RPCU est de soutenir, défendre et protéger les droits des usagers du réseau de la santé et des services sociaux en soutenant les comités des usagers et de résidents dans la réalisation de leurs missions et en exerçant un leadership à l’égard de l’amélioration de la qualité et de la sécurité des services de santé et services sociaux au Québec. En ce sens, l’AREQ et le RPCU partagent des valeurs fondamentales et ont tout avantage à travailler ensemble pour le mieux-être des personnes aînées usagères du réseau de la santé.
Après plusieurs échanges avec la Régie et à la suite des modifications dans la réglementation, un permis détenu par l’AREQ permet de couvrir tous les tirages durant une (1) année.
Cette nouvelle réglementation couvre plusieurs types de tirages et accorde par conséquent plus de souplesse et de choix au milieu.
Il faut se rappeler qu’avant la période de suspension et la COVID, l’ensemble des tirages procurait des revenus annuels de près de 20 000 $ à la FLG.
Dans les prochains jours, les secteurs et responsables auront accès à l’information pour assurer le bon déroulement des tirages.
Bons tirages et merci à celles et ceux qui achètent les billets!
Les conseillères et conseillers de l’AREQ offrent une panoplie de conférences en lien avec les dossiers de l’AREQ (CSQ). Que ce soit pour des activités locales et régionales ou par invitation d’organismes partenaires, l’équipe de l’AREQ est prête à se déplacer partout au Québec pour offrir leurs conférences.
Conférence sur l’âgisme
Par exemple, le conseiller aux dossiers sociaux, Samuel Labrecque, a eu la chance d’offrir une conférence sur l’âgisme et la représentation des personnes aînées dans la culture populaire à Sainte-Anne-des-Monts, le 13 septembre dernier, dans une activité organisée par le Centre d’action bénévole des Chic–Chocs (CAB). Ce fut l’occasion de discuter de la place des personnes aînées dans la culture populaire, au Québec et en Amérique du Nord, dans les films, la télévision, la musique et les arts. Selon un rapport SAG-AFTRA (syndicat des acteurs aux États-Unis), les acteurs âgés de 65 ans et plus représentaient moins de 8 % de tous les rôles parlants dans les productions cinématographiques et télévisuelles américaines, et ce, bien que ce groupe d’âge représente environ 20 % de la population. Également, le rapport souligne que les rôles pour les acteurs âgés sont souvent secondaires ou de soutien, avec très peu de personnages principaux ou récurrents.
Conférence sur les soins et les services à domicile
Puis, Samuel s’est déplacé à Matane le 18 septembre, avec les membres des conseils sectoriels de la région Bas-Saint-Laurent–Gaspésie–Les Îles–Côte-Nord, pour une conférence sur le soutien à domicile au Québec. L’objectif de la conférence est de connaître l’état actuel de ce dossier, de comprendre les défis et d’explorer les pistes de solutions afin de répondre au souhait des personnes aînées de pouvoir rester le plus longtemps possible dans le domicile de leur choix et d’y recevoir des services et des soins. Par exemple, saviez-vous que le Québec n’investit que 259 $ par habitant en services à domicile et en soins communautaires, ce qui le place au 11e rang au Canada?