Dans une lettre ouverte publiée le 5 janvier dernier, Lise Labelle, membre de l’AREQ, déplore les conditions inacceptables vécues par son mari récemment hospitalisé, âgé de 88 ans, couché sur une civière dans un corridor durant sept jours et six nuits. Ainsi, Mme Labelle dénonce la médecine de corridor comme étant de la maltraitance pour les personnes aînées.
Lettre ouverte :
La médecine de corridor, de la maltraitance pour les aînés, Le Devoir, 5 janvier 2024.