Charlaine a écrit un livre qui présente l’Eutonie, une approche de conscience du corps qui propose des moyens simples pour retrouver ou conserver la souplesse, la force et l’énergie dont nous avons besoin. Loin d’être une liste d’exercices répétitifs, son livre nous apprend à bouger avec un minimum d’effort et un maximum d’efficacité. Tout ce qu’elle a appris dans ses trente années de pratique est réuni dans ce livre.

C’est un recueil de citations, tirées de livres jeunesse, rassemblées sous 22 thèmes. ON retrouve dans cette liste autant la Comtesse de Ségur que Dominique Demers et François Gravel. C’est un travail méticuleux que Nicole a réalisé: travail de recherche, de lectures, de prise de notes, quête des droit d’auteur. Chacun des 22 thèmes regroupe une vingtaine de citations. Ce livre est à l’image de sa passion pour la lecture, les enfants et la littérature jeunesse.

Un jeune caribou doit se déplacer rapidement pour échapper à un feu de forêt. Isolé pendant un temps de sa harde, il devra se débrouiller pour affronter des dangers afin de survivre dans la région Nord-du-Québec. Accompagné d’une copine, ils vont essayer de retrouver leurs semblables. Toutefois, rechercher un territoire protégé, ce n’est pas de tout repos.

Léonie aura bientôt 6 ans lorsque sa mère décède. Une tante en profitera pour l’amener loin de sa famille immédiate et la garder enfermée pendant trois longues années. Elle devra apprendre à survivre dans ce milieu rempli d’une atmosphère hostile. Son rêve de fréquenter l’école sera mis à rude épreuve. C’est son arrière-petite-fille, suite à une promesse faite à sa mère, qui racontera les épreuves. Mais il lui faudra aussi s’inquiéter d’un évènement sordide vécue par Léonie et qui semble toucher de près un proche.

Dérives est un recueil de textes qui souhaite entrainer ses lectrices et lecteurs dans un voyage au hasard du temps et dans des lieux aux couleurs changeantes. Des récits et des nouvelles d’hier, d’aujourd’hui et de demain. Des textes qui, pour la majorité, ont déjà été publiés dans des collectifs d’auteurs auprès de maisons d’édition reconnues. Une volonté chez l’auteur de regrouper ces titres-là répartis sur plus de vingt ans pour répondre à la demande de ceux et celles qui s’intéressent à ses écrits.

Mon roman se penche sur le sort des démunis de la société; ceux qui traînent leur mal à l’âme sur les trottoirs. Ces êtres sans domicile fixe qui vivent du désespoir, de la souffrance physique et mentale se sentent rejetés, incompris et vulnérables. Nous avons tous nos problèmes mais si nous nous nous donnions comme objectif de nous efforcer à leur sourire et à poser un geste, si petit soit-il, pour les aider à se sentir comme des humains à part entière. Pensons-y, ces itinérants ont chacun leurs raisons de vivre dans la rue et aucun d’entre eux n’a choisi de se consumer dans ce style d’existence.

Saint-Césaire, 1832. Antoine, étudiant en médecine, est amoureux d’Angélique, la fille du meunier. Alors que le choléra se propage au village et provoque la panique, le jeune homme investit tout son temps à soigner les victimes et à travailler au laboratoire de son oncle afin de trouver un remède contre la « peste bleue ». Au moulin, la belle Angélique, qui se sent délaissée, repousse les avances d’Ignace, un voleur de moutons, mais se laisse séduire par Patrick Dunnagan, un Irlandais soupçonné d’être porteur de la maladie. Qu’adviendra-t-il de l’amour entre l’apprenti médecin et la fille du meunier?

Le carnet est un genre littéraire qui se déguste lentement, qui s’inscrit dans un moment précis, permettant à ses lecteurs et à ses lectrices de s’arrêter pour mieux observer et apprécier. En jumelant le genre du carnet avec sa pratique artistique, Rita Lapierre-Otis crée des ponts d’une grande douceur. Au gré des quatre saisons, elle nous invite à réfléchir avec elle aux paysages, aux éléments naturels et à la vie avec tout ce qu’elle peut offrir. Les beautés de la nature, les souvenirs, les lectures, les recherches et les créations dans son atelier sont autant de prétextes à une écriture poétique et lumineuse.

Il s’agit de contes de Noël ainsi que des faits vécus au sein de la famille Poirier et Vervais, deux familles fondatrices de Sainte-Philomène de Mercier.

L’auteur poursuit les tribulations de ses personnages qu’il nous a fait découvrir dans « Mythomania », avec ce second roman : « Chez Germain». Il y avait, maintenant, plus de quatre ans que Germain et Eugénie partageaient leur intimité, dont la plénitude était plus qu’espérée. Germain aimait, par ses pitreries, voir sa compagne s’étouffer de rire. Nul ne peut prédire ce que demain sera… Un texte que Germain avait rédigé pour ses étudiants le projettera conseiller auprès du Premier ministre. Il l’accompagnera lors de rencontres internationales. Rien ne lui laissait croire que sa route croiserait celle de mythomanes de tout acabit.

Après de longues années loin de ses proches à cause d’un événement tragique, un homme se décide enfin à leur rendre visite, amenant dans ses bagages un lourd secret. Mais des rebondissements vont l’obliger à le leur dévoiler d’une bouleversante manière, le poussant à reconsidérer de fond en comble son rapport aux autres, à la vie et au destin.

Après plus de trois décennies, Dominique tente le destin. Il appelle Maude, l’amour de son adolescence. L’aura-t-elle oublié? Aura-t-elle envie de le revoir? Et si le destin influençait enfin une grande conjonction. Au même moment, un couple et leur petite fille, candidats à l’émigration au Québec, arrive t de Saint-Martin. Ils se retrouvent chez Maude à la suite d’une invitation qu’elle leur a trop légèrement lancée lors d’un voyage sur l’île il y a maintenant deux ans. Entre l’amour et l’amitié, Maude arrivera-t-elle à trouver un équilibre? C’est à découvrir!

Partir ou … rester. Pour certains, c’est une décision difficile à prendre; pour moi, c’est l’évidence: j’embarque alors (1975) sur le paquebot Alexander Pushkin au Port de Montréal; débute, sac au dos, une introspection de mon identité à travers l’Europe, l’Égypte et l’Angleterre. Cette enfance que fut la mienne, elle me suivra de près. Et celle que j’ai quittée, y sera-t-elle. encore à mon retour….? L’appel est trop fort, je n’ai pas le choix, je pars!

En 1840, à Ste-Geneviève-de-Batiscan. Laurent et sa famille font face à des embûches. Son fils aîné fréquente une anglaise aux origines nébuleuses. Un cataclysme survient. Une enquête du coroner est exigée. Comment survivront-ils? Un roman sensible et poétique, précis et véridique, très touchant et captivant. ( Roman, récit, reportage)

Frici, gamin intrépide à l’imagination fertile, entraîne ses copains dans des aventures rocambolesques. Il traverse les années avec courage et détermination malgré les événements tragiques qui bouleversent sa vie : Seconde Guerre mondiale, imposition d’un régime totalitaire menant à la révolte populaire, famille dispersée et fuite pour sauver sa vie. Quelle sera la route suivie par Frici pour survivre, pour se construire un avenir plus lumineux et devenir l’homme de coeur et l’homme d’honneur qu’il est aujourd’hui ? La force de la vie guidera ses pas portés par un optimisme indéfectible.

Pour les lecteurs de 12 ans + Rose-Line trouve son emploi d’été trop tranquille à la résidence pour aînés. Tout change lorsqu’une querelle éclate entre deux septuagénaires et dégénère en bagarre générale. Les rumeurs les plus folles circulent aussitôt sur les réseaux sociaux, causant du tort à la directrice, madame Nunez, qui demande à Rose-Line et à son collègue Charles de surveiller de près les trouble-fête qui ont ouvert le bal. Rose-Line et Charles s’investissent à fond pour découvrir ce qui se cache derrière cette histoire. Propulsés dans un tourbillon de complots, les jeunes sont loin d’imaginer ce qui leur pend au bout du nez. Arriveront-ils à démêler le vrai du faux?

 »Tshi tshatshiten, Madame Line » : c’est le récit touchant, respectueux et sensible d’une enseignante et de son aventure dans une communauté Innue de la Côte Nord. Vous y découvrirez sa relation avec un peuple attachant et les nombreux défis de cette aventure professionnelle. Diplômé en enseignement de l’anglais langue seconde de l’université du Québec à Trois-Rivières (UQTR) en 1986, Line Vadeboncoeur travaillera à plusieurs endroits durant sa carrière.

La quête de l’alchimiste est un conte philosophique et poétique, finement illustré par une vingtaine d’aquarelles d’une grande douceur. Cette œuvre nous décrit, d’une manière métaphorique, les étapes d’un réel cheminement intérieur. Vous y trouverez également une réflexion poétique sur les quatre éléments. La lecture de ce conte saura toucher votre âme.

Une femme parmi les autres est le récit de vie de Lise Laplante, femme militante et engagée. Femme de convictions, la Nicolétaine a consacré sa vie à l’avancement des femmes. Son livre met en lumière ses principales implications sociales tout en faisant découvrir des éléments de sa vie personnelle. «J’ai su à 60 ans qui était ma vraie mère.». Une autobiographie au riche parcours. À lire.